Nils nettoie ses vitres et s'anamorphose dans le bocal de fruits.
Sensation pénible ce week-end que de se croire obliger d'imprimer des images dans le cerveau, alors que je suis enfin à l'horizontal au repos, entre deux tournages, montage, overdose d'images ...
Je suppose que le travail de l'écrivain revient au même.
C' est infernal, tout est prétexte ...
2 commentaires:
L'écrivain, je ne sais pas, mais moi, souvent, les mots me gonflent le soir (alors je me détends, j'écris des billets de blog °-)
Mais dis-moi, dans notre société d'image, tu dois avoir du mal à faire des pauses visuelles, non ?!
@Anacoluthe
si tu savais le nombre d'images à la seconde dans ma rétine, sans doute j'en deviendrais aveugle... comme un bon ouvrier qui ressasse perpétuellemnt le même geste, si créatif soit-il, un fourmillement dans la main droite, corps voûté sur le clavier, et petite vieille en devenir ... not so glam !
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