Affichage des articles dont le libellé est Art. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Art. Afficher tous les articles

08/09/2024

Fabienne Verdier, une peinture tout en vibrations. Rencontre.

Rencontre avec Fabienne Verdier, à l'occasion de la publication de ses carnets de recherche "Echos" de 2017 à 2022.

 
 

J'avais à cœur de lui faire part de l'inspiration et de l'enthousiasme que me procurent ses toiles. 

Ma curiosité est renouvelée à chacune de ses expériences artistiques qui donnent lieu à un ouvrage, sur ses recherches formelles, analogiques et labyrinthiques, qui sont comme un retour de voyage dans des contrées visibles et invisibles.


 

Fabienne Verdier s'adonne à cette activité depuis plus de 30 ans, avec une ferveur et une ascèse rare, qui lui vient de ses années d'études passées en Chine, dans la province du Sishuan. 


Seule étudiante française, elle y a suivit pendant dix ans, un laborieux et passionnant apprentissage du tracé, avec un ancien maître lettré. A son retour en France, elle développe sa propre technique de peinture et invente son outil; un pinceau géant sans tige et suspendu comme un pendule qu'elle dirige avec un guidon de velo. Cette transformation lui permet alors d'explorer sa présence corporelle directement sur la toile,  un corps pinceau-pensant.

 

Jour après jour, elle apprivoise et accueille la spontanéité du flow et du fracas de la matière sur le support horizontal. selon l'humeur et l'impermanence du vivant.

Grâce à la répétition du geste, à la vibration du moment présent, Fabienne Verdier performe debout, sur les abscisses et les ordonnées d'une toile où l'invisible se joue. Il guide sa main durant la court délai de la traversée de toile qui se veut unique, avec l'acuité d'un sportif de haut niveau.

 

Fabienne Verdier dans son atelier. ©Laura Stevens, mars 2021. ⁠

Ce qui impressionnera le plus c'est surement la taille des toiles, l'ampleur des ouvrages, amplifiée par la vélocité de l'outil qu'elle a créée mais également par la vision qu'elle y projette. Une confrontation du microcosme / macrocosme. Elle qui a débuté en gravant scrupuleusement dans la matière de la petitesse, des tampons calligraphiques, elle a transformé et projeté ce savoir-faire venue de Chine, vers une vision plus abstraite, dans un langage forcément universel.

 

Rencontre entre l'artiste Fabienne Verdier et l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan, autour des recherches picturales s'inspirant d'un tableau de Grunewald, représentant le Christ auréolé.

 

Le Christ extrait du retable D'HISSENHEIM 
Le Christ extrait du retable D'HISSENHEIM


 

 
Read the book Fabienne Verdier Passenger of silence -
"My quest for the Ancient Arts in Post-Cultural Revolution China is Fabienne Verdier’s first-person account of her extraordinary journey as an art student living and studying in China in the years following the Cultural Revolution."

Translated by Young Kim⁠in 2024- Five Continents editions

02/07/2013

Point de vue

"Quand tu prends une photo, tu organises ton corps, les trois points sont en ligne. C'est une expérience de yoga."

Sergio Larrain, photographe.
Rencontres Photographiques Arles- Juilliet 2013
 

26/06/2013

Marc Vella - Porteur d'éveil



Entendons-nous, vraiment ? "La musique guérissante" de Marc Vella telle qui la raconte. Quel baume...

16/05/2013

Rendez-vous

Cinétique


Expo Dynamo - Pénétrable BBZ Bleu – Jesús Rafael Solo - Grand Palais Mai 2013- © Laure K.

"J'ai développé mon travail en me fondant sur des analyses et des synthèses empiriques, 
et j'ai toujours crû que la perception était le médium permettant d'expérimenter 
directement des façons d'être."



12/11/2012

Sensation



La semaine dernière, l'amie Laurence m'a invitée à entrer dans la danse. Danse impro.
Là où l'espace accueille tout mouvements, libre, libre, libre...
Je me suis sentie comme avant, en-dedans et je ne sais pas comment je suis arrivée jusqu'ici à vivre sans cela. Quelle bouffée d'oxygène !

Vivement que j'y retourne, vivement.

08/11/2012

Rencontre- Hervé Brisepierre



vidéo: Laure K.


J' ai visité la galerie d' Hervé Brisepierre cette semaine, découvert par Hélénablue.
D'abord parce que l'affiche de l'exposition me plaisait bien et ensuite parce qu'il m'était accessible en ces jours et heures de naviguer seule et sans amarres.

Hervé est un homme chaleureux, qui ne s'économise pas de parler de ce qu'il fait, qui a trouvé une forme à son puzzle intérieur peut être, dans la matière, le matérieau. Celui qu'il faut tordre de ses mains, poncer, tailler, ciseler, donner forme. Toute cette démarche là ancrée dans le bois de remplir les trous, les vides, le chaos avec des choses qui paraissent si précieuses.
Il y a peu d'hommes qui réussissent ça, qui ont conscience de la beauté du chaos, du très plein et de l' espace désertique. D'accueillir les aléas, les accidents, de leurs donner vie en y incrustant des matières.  Quand j'ai filmé sa table, je balladais mon oeil sur un désert peuplé de serpents et d'oasis, Hervé Brisepierre brode un paysage intérieur, un jardin.

J'ai voulu posé mon regard dessus, j'ai eu besoin de ça, de prendre le temps de voir, et de vous le donner à voir. Je suis admirative, sincèrement de ceux qui trouvent un socle à leurs puzzle de vie.


10/10/2012

Futur is mind

Je travaille en ce moment sur une vidéo qui m'en apprend beaucoup sur 1- le Mind Mapping et 2- la façon d'envisager les nouvelles technologies combinées aux sciences, à la perception, la connaissance, l'exploration et l'artistique. Un truc qui me dépasse totalement à vrai dire car on entre là dans une ère pleine du cyber espace. Autant dire qu'on prend un coup de vieux. Les gamers sauront mieux que moi apprécier l'envers du décor mais c'est fascinant de se projetter dedans.
C'est ce qui est fait dans l'Allosphère, que je vous laisse découvrir.
( sous titre à sélectionner sur le lecteur)



Joann Kuchera-Morin est la directrice du centre Research in Electronic Art Technology (CREATE) de l'université de Santa Barbara. Avec son équipe, elle a créé Allosphère, un espace immersif dédié à la co-création. Dans cette "capsule", les murs sont tapis d'écrans pour mieux isolés les chercheurs au centre de leurs travaux, souvent simulés sous forme d'univers 3D complexe. Des outils à disposition permettent d'interargir sur les images projetées et de sculpter en direct ses propres idées. Le tout s'apparenterait presque à une mémoire rendue tangible où chaque connexion neuronal correspondrait à une discussion entre les chercheurs. En somme, un cocon parfait pour produire et murir des idées.

20/09/2012

L'art: théâtre de nos émotions

La vérité d'une émotion n'est jamais jouée, elle est convoquée... par une mise en scène, par les acteurs qui jouent, et ne jouent plus. L'art et la vie se confondent ici. Très émouvante mise en abîme et mise en lumière, de ces deux comédiens fétiches du cinéaste suédois Ingmar Bergman.

30/07/2012

Pour vos yeux

En ce jour de disparition du cinépoète Chris Marker, dont le regard, l'oeil tentait de nous enseigner le savoir "voir" 
en travaillant la matière nommée mémoire de manière à la rendre et visible et vivante et visionnaire.
Un maître dans l'art du montage pour tous ceux qui sont passés par des études visuelles et sonores, un explorateur engagé, un orateur de l'images pour tout spectateur. Un grand cinéaste du langage.


"Les mots peuvent faire dire tout ce qu'on veut aux images"
Dans son film "Lettre de Sibérie", réalisé en 1957, Chris Marker met en évidence la fonction du montage sonore et du commentaire, dans cette séquence devenue culte. 





« Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. 
Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art.
Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture. »
Les Statues meurent aussi - Documentaire Chris Marker-1953


"Ce petit film est un brûlot, dont la pertinence ne s'est pas démodée, et qui a pour intérêt de nous interroger : qu'est-ce qui mérite réellement le nom " d'Art " ? que devient l'objet rituel, l'objet sacré, quand il est vidé de sa substance de mystère ? un autre mystère, de l'Art, ou du rebut ?
ici ce qui est intéressant, c'est de se poser la question de savoir pourquoi certains objets et non d'autres, entrent dans les musées, pourquoi ceux qui se rapprochaient de la pensée "blanche occidentale" ont reçu carte blanche, quand le reste n'avait droit qu'aux cabinets de curiosités, comment se fait-il que leur charge émotionnelle ait été à ce point méconnue ? un occident trop imprégné des canons "classiques" de la représentation du monde est resté, et reste encore, trop aveugle à d'autres cosmogonies que la sienne. L'ethnocentrisme est terriblement délétère.
Ce film est un véritable chef d'oeuvre, je ne l'ai vu qu'une fois en entier, et il a changé toute ma vision de l'Art, à 17 ans."

par Anne des Ocreries

29/07/2012

Origami sensorielle

Dans le même registre de jeu de construction/déconstruction, mise en espace et perception visuelle,  les oeuvres tracées de l'artiste Felice Varini, qui loin de leurrer son monde, met en place l'illusion d'une forme parfaite en deux dimensions dans la perspective d'un espace en trois dimensions.
Un seul point de vue physique permet à l'oeil de recréer la forme du cercle, carré, triangle, plein ou vide, qui disparait en fragments de lignes dès que le spectateur s'éloigne du point de fuite de la perspective imaginaire.

Felice Varini - Trois triangles bleus
 J'aime particulièrement l'idée de pouvoir pénétrer dans cet espace de fragments qui offre une vision tout a fait neuve de la réalité. Concevoir ainsi que les fragments, les distorsions, pliages, courbes forment un tout qui se révèle d'un seul et même point de vue. Que le cheminement soit aussi passionnant à voir et à inspecter que l'objectif final de sa réalisation.


"Je pars d'une situation réelle pour construire ma peinture. Cette réalité n'est jamais altérée, effacée ou modifiée, elle m'intéresse et elle m'attire dans toute sa complexité. Ma pratique est de travailler "ici et maintenant". Felice Varini

Perception volontaire





Héritière de l’Abstraction géométrique, du Gruppo T, et de l’Op Art des années 1960, Esther Stocker poursuit les recherches autour de la vision optique et de la perception spatiale, dans une approche sociale et contemporaine, influencée par les nouvelles technologies. Ses œuvres s’élaborent au moyen d’un discours mathématique très précis, partie essentielle de son processus de création. La réflexion de l’artiste se centre sur la question suivante : « Comment un système parfait est-il en vérité imparfait ? ». Ses structures géométriques se construisent à partir de modules se répétant à l’infini, qui créent un rythme visuel en apparence régulier dans lequel l’artiste introduit des accidents, générant ainsi un nouveau rythme adjacent. Cette intrusion d’une rupture dans l’équilibre optique, comme dans l’architecture maniériste du XVI ème siècle, permet alors de créer de la surprise et de l’émotion, de briser l’ordre et la dimension plane.



Les installations d' Esther Stocker répondent pour moi, là, maintenant, au travail essentiel de déconstruction d'une image, d'un système de pensée, d'où naissent désir, création, projection et tourment.
Non pour anéantir le système ou le mode de fonctionnement mais pour y accéder et créer les interférences nécessaires à sa compréhension.
Mieux percevoir ce qui se trace, l'accepter comme tel, le reconnaître, et l'idée de briser l'image, la continuité. Ces représentations fragmentaires dans l'espace me paraissent tantôt vertigineuses tantôt géniales, tout est affaire de perception et de la façon dont on la perpétue, dont on la maintient dans sa forme ou pas. Avec l'idée souveraine de dépasser les premières sensations.



25/07/2012

A l'ami G.


J'avais un ami peintre il y a quelques années, nous nous sommes "séparés" au moment où il devenait père et moi vraisemblablement maman... je me souviens de notre dernière discussion, place de la Nation. Dernier échange sans heurts, qui marquait sans qu'on le sache bien le début de la fin d'une amitié, d'une route tracée depuis nos 18, 19 ans. Nos heures de discussions passionnantes, ses "stratégies" parfois agaçantes mais sans doute payantes, sa série de 1001 cartes postales qu'il vendait stratégiquement devant les monuments de Paris, "Aimez-vous l'art ?" était sa phrase d'accroche, et ça marchait plutôt bien. Un artiste marketeur, devenu sans doute plus homme d'affaire aujourd'hui. D' une peinture morcelée en quatre cartes postales il arrivait à donné à l'acquéreur le sentiment de posséder un partie d'un tout qui le faisait voyager dans l'espace-temps. Nous avons vécu au temps des "déchets d'oeuvres" quand tout est devenu jetable, portable, fragmentable. Depuis les premiers soubresauts du web.0, où il devançait les méthodes balbutiantes, s'attaquait déjà au rencontres virtuelles, et m'en racontait ses exploits, ses échecs. Il a toujours eu un temps d'avance et m'avait conseillé aussi le blog, au moment où lui le quittait. J'ai suivi ses toutes premières gammes du peintre qu'il était, qu'il est encore, je le crois, ses premiers tracés de silhouette sur papiers journaux. Son talent résonne aujourd'hui dans d'autres sphères. 
En lisant la lettre de Lorca hier, je pensais à lui. A nos échanges artistiques et de vies, d'avancements, et de doutes, d'échanges riches de nos expériences. Parfois il me manque un frère d'art et d'armes sur la route. Toujours pas trouvé avec qui converser longuement artistiquement avec ceux de ma génération, à part Nils. Génial performer dans son style mais pas écrivain pour un sou. J' éspère que tout va bien pour toi amigo, j'ai eu une pensée à travers cette vidéo, "Freestyle" dans une autre vie !
Bises à toi et aux tiens.




24/07/2012

Federico à un ami

"Tu souffres, et il ne le faut pas. Dessine une carte de ton désir et vis dans ce plan qui doit toujours obéir à une norme de beauté. C'est ce que je fais, mon cher ami... Et ce n'est pas facile ! Mais j'y vis. Je suis un peu hostile à tout le monde; pourtant, la beauté vive que je sens battre dans mes mains me console de tous les déboires. Et comme j'ai des conflits de sentiments très graves et que je suis accablé d'amour, de vilenies, de choses très laides, je m'en tiens coûte que coûte à ma norme de joie. Je ne veux pas capituler. Tu ne dois pas te laisser abattre. Je sais très bien ce qui t'arrive.
Tu es à l'âge triste du doute, écrasé par un problème artistique que tu ne sais comment résoudre. Patience. Ce problème se résoudra de lui-même. Un beau matin tu commenceras à y voir clair. Je le sais. J'ai de la peine à te savoir plongé dans ces sales histoires. Mais tu dois apprendre à en triompher à tout prix. Tout vaut mieux que d'être dévoré, brisé, déchiqueté par elles. J'ai surmonté ces derniers jours à force de volonté une des plus grandes douleurs de ma vie. Tu ne peux imaginer ce que c'est, de passer des nuits entières sur le balcon à regarder la Grenade nocturne pour moi vide sans trouver la moindre consolation dans quoi que ce soit.
Et puis... veille constamment à ce que ton état ne s'infiltre pas dans ta poésie, sinon elle te jouera le mauvais tour d'exposer ce qu'il y a en toi de plus pur aux regards de ceux qui ne doivent jamais le voir. Voilà pourquoi, afin de m'exercer à la discipline, je fais actuellement ces études et livre mon âme au symbole du saint sacrement et mon érotisme à une Ode à Sésostris, à moitié terminée. Je te parle de ces choses parce que tu me le demandes; je ne dirais plus rien de ce qui, malgré moi, me blesse sans coup férir et on ne peut plus sciemment.
Mais je me défends, J'ai plus de courage que le Cid..."

Federico Garcia Lorca à son ami Jorge Zalamea


27/04/2012

"Etre ou ne paraître"

Un travail tout à fait... tout à fait pertinent, je dois dire.

Nicole Tran Ba Vang


Artiste plasticienne d’origine vietnamienne, Nicole Tran Ba Vang vit et travaille à Paris.
Elle s’est d’abord imposée dans le paysage de la photographie française contemporaine.
Issue de la mode, l’artiste conçoit toujours des « Collections », comme elle nomme aujourd’hui chacune de ses séries photographiques.
Elle joue avec les codes et les mécanismes de ce domaine qu’elle connaît parfaitement, tout en reprenant son langage visuel.


Ses images interrogent le culte de l’apparence et ce qu’il dévoile de nos préoccupations identitaires. C’est avec un certain humour et une apparente légèreté que l’artiste continue d’ausculter en profondeur ce phénomène insaisissable et incontournable, dans ses dimensions à la fois sociales et psychologiques


Nicole Tran Ba Vang s’est fait connaître avec des images paradoxales dans lesquelles elle déshabille ses modèles en les habillant d’une seconde peau, les parant d’étranges « habits de nudité ». Ces images à la fois séduisantes et dérangeantes perturbent la perception de ce que nous possédons de plus immuable - notre peau - en l’accessoirisant comme un élément interchangeable de la garde-robe idéale.

« Etre ou ne paraître », c’est par ce jeu de mot que Nicole Tran Ba Vang aime alors à définir les enjeux de son travail.

Depuis 2003, elle réalise des séries photographiques qui étendent sa réflexion sur l’identité : ses femmes-caméléons ont la peau brodée, prolongeant dans leur chair les délicats motifs qui ornent les murs dans lesquels elles semblent vouloir se fondre.

Avec sa nouvelle « Collection Automne/Hiver 2007/08 », les personnages sont brodés et emprisonnés dans les murs avec les motifs du décor, faisant redoubler ainsi le jeu ambigu entre le réel et le fictif. L’artiste prolonge ainsi ses recherches sur la relation du corps à son décor, de l’individu à son environnement. Ces photographies sont intégrées à une installation, dont les murs sont directement rebrodés créant ainsi des wall-embroideries.

En créant la scénographie et les costumes de Eldorado, une pièce chorégraphique d'Angelin Preljocaj de 2008, elle signa sa première œuvre pour le spectacle vivant.

20/10/2008

autopsie du couple

A quoi pourrait ressembler le rythme caridio-émotionnel d'une relation entre deux individus ?

A une oeuvre intelligemment perforée de vignettes colorées,
à une partition lointaine puis proche, ponctuées de silence ...
à un portrait "meetic" rassemblé en puzzle,
aux soubresauts des bulles que l'on gobe pour oublier la souffrance des abandons
à la solitude d'une jeune mariée

A une oeuvre désormais mature de la plasticienne Bérengère Lefranc, qui touche là avec une profonde acuité du coeur "aimant" de la femme.



Un travail d'autopsie, tenu à bout de bras, pour renaître à la vie quant tout a foutu le camp.

A suivre très prochainement.

Fabienne Verdier, une peinture tout en vibrations. Rencontre.

Rencontre avec Fabienne Verdier, à l'occasion de la publication de ses carnets de recherche "Echos" de 2017 à 2022.     J...