Femme, muse, inspiratrice, créatrice, je suis multiple, à travers cette histoire collective qui nous révèle nos peurs et nos chimères, j’avance, je tâtonne, je trébuche, mais je reste l’éternel féminin.
Marie-Claude Pietragalla
La tentation d’Eve, au-delà d’un spectacle sur l’histoire de la femme à travers les siècles, parle de façon intime de l’énergie féminine, du féminin de l’être.
Ce spectacle hybride, où s’entremêlent la danse, le théâtre du corps et d’objet, nous guide à travers la condition féminine et le symbolisme qu’elle enfante.
Les multiples identités de ce personnage permettent à Marie-Claude Pietragalla d’évoluer dans des univers variés, où elle se joue des codes du théâtre, passant du drame au burlesque.
La femme reliée au Sacré est sensible à la réalité du mystère qui est en elle.
Marie-Claude Pietragalla, devient danseuse Etoile de l’Opéra de Paris en 1990, puis s'impose comme créatrice et se produit sur les scènes les plus prestigieuses : Opéra de Paris, Olympia, Venise Place Saint Marc, la Fenice, Opéra de Pékin, Métropolitan Opéra à New York, Bolchoï à Moscou…
Inventant son propre univers, la chorégraphe crée en 2004 avec Julien Derouault, Pietragalla compagnie, le théâtre du corps. Dans leur chorégraphie le mouvement est vecteur d’instinct, de rêve et d’imaginaire. La danse comme art du sensible, repense le corps tel un lieu où s'inscrivent les manifestations de l'expérience humaine.
A l'occasion de la sortie du DVD La tentation d'Eve
réalisé par mon ami Antoine Vidaling- Pill Production
4 commentaires:
c'est drole cette chorégraphie ne me touche pas du tout
et je ne sais pas pourquoi il me semble que cela reste très en surface...
@Laurence
Je sais ce que tu en penses, c'est très ésthètique mais pas extatique.
La beauté du geste, ça tiend à quoi ?
au sens qu'il dégage, à une interprète ? à l'émotion ?
La beauté du geste tient à sa densité, me semble-t-il et à sa congruence, entre celui qui le produit et ce qu'l a à dire en soi, intrinséquement!
Et puis la beauté c'est toucher, du moins pour moi, même le plus anodin des petits gestes peut-être beau.
Irons nous jusqu'à dire que trop d'esthétique tue l'esthétique, tendre à la perfection laisse l'émotion de côté, peut-être alors la beauté du geste c'est le risque aussi, celui de l'imparfait!
*Hello mes L, vous me manquez!!
Kiss.
Blue
@Blue
Miss you too !
et de la gestuelle à l'émotion, ne serait-ce pas comme la poule et l'oeuf, qui quoi en premier fait le paon ?
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