Dix jours de pleine terre, sans être
mère. Sans être à personne nécessaire. Liberté de moi, de mes gestes, de
mes actes, de mes pensées, de mes souffles, ma respiration, la mienne.
Regarde
comme l'océan est puissament libre, grandeur et vertige. Se souvenir
des gestes qui font de l'avant une avancée. Va, nage, sois libre, sois
bien dans ton corps, relie les points du cadran solaire, aligne-toi sur
les astres de ton signe, sens venir les vents, tous les vents, les
sublimes, les contraires, navigue dans les airs du beau et de la
tendresse aventureuse.
Sois la vie et prolonge la d'autant.
merci à La Rouge
3 commentaires:
un poème pour une enfant.
Louise est partie ce matin, j'ai eu un grand vide, bizarrement, ce sentiment un peu vertigineux de lâcher une petite main que je sais en bonne compagnie. Blue est partie aussi, ce qui me fait deux âmes soeurs en belle envolée.
C'est un état étrange que de se retrouver ainsi à soi-même. Un grand kiff d'été. Pour mieux se retrouver.
Bonne journée à toi.
Un café en terrasse à l'occasion ?
à l'occasion. :)
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