Pas si futile que de se vêtir pour une nouvelle rentrée. Quand ça me pique et que le porte-monnaie le permet, je retrouve un certain goût pour la mode. Plus que pour des marques, ce qui m'importe c'est le style.
Pour cette rentrée, c'est ma fille Louise, du haut de ses presque sept ans qui m'a bluffé par ses envies vestimentaires. Je souhaitais lui acheter une veste, elle en a essayé de toute sorte, qui ne ressemblait à rien, enfin qui ressemblait à tout le monde. Elle s'amusait à composer des ensembles et je lui trouvais l'oeil curieux du souci de style. Parmi la foule de tissus, j'attrape une petite veste bleu marine façon uniforme à l'anglaise, un peu cintrée, agrémentée de touches de couleurs qui la rendent moins stricte que l'uniforme classique. Moi j'adore ce mélange mais je ne sais pas ce qu'elle va en penser. La veste tombe à merveille sur son petit corps, un costume taillé pour elle, La veste est adoptée avec enthousiasme, sans que j'ai à la convertir, elle choisit du coup la robe "kilt" qui va avec. Je la trouve classe, à l'aise, confiante, grande et me souvient ô combien il m'importait aussi de me sentir bien et neuve dans des tenues, comme pour franchir une porte, pour mieux rentrer dans la ronde. Le reflet du miroir lui renvoie une image qui la conforte, lui donne de l'allure, celle d'une écolière qui entre dans un nouveau cycle.
Nouvelle classe de 27 élèves, nouvelle maîtresse à la pédagogie plutôt ludique, plus le suivi régulier des travaux de lecture et d'écriture pendant les vacances, je mise sur une année scolaire plus douce que celle de l'an passé qui s'était avérée plus que laborieuse. Donc, oui il n'est pas futile de s'armer de quelques belles fibres pour maintenir le cap, tout ça participant à la confiance et à l'estime de soi.
Pour cette rentrée, c'est ma fille Louise, du haut de ses presque sept ans qui m'a bluffé par ses envies vestimentaires. Je souhaitais lui acheter une veste, elle en a essayé de toute sorte, qui ne ressemblait à rien, enfin qui ressemblait à tout le monde. Elle s'amusait à composer des ensembles et je lui trouvais l'oeil curieux du souci de style. Parmi la foule de tissus, j'attrape une petite veste bleu marine façon uniforme à l'anglaise, un peu cintrée, agrémentée de touches de couleurs qui la rendent moins stricte que l'uniforme classique. Moi j'adore ce mélange mais je ne sais pas ce qu'elle va en penser. La veste tombe à merveille sur son petit corps, un costume taillé pour elle, La veste est adoptée avec enthousiasme, sans que j'ai à la convertir, elle choisit du coup la robe "kilt" qui va avec. Je la trouve classe, à l'aise, confiante, grande et me souvient ô combien il m'importait aussi de me sentir bien et neuve dans des tenues, comme pour franchir une porte, pour mieux rentrer dans la ronde. Le reflet du miroir lui renvoie une image qui la conforte, lui donne de l'allure, celle d'une écolière qui entre dans un nouveau cycle.
Nouvelle classe de 27 élèves, nouvelle maîtresse à la pédagogie plutôt ludique, plus le suivi régulier des travaux de lecture et d'écriture pendant les vacances, je mise sur une année scolaire plus douce que celle de l'an passé qui s'était avérée plus que laborieuse. Donc, oui il n'est pas futile de s'armer de quelques belles fibres pour maintenir le cap, tout ça participant à la confiance et à l'estime de soi.
4 commentaires:
Wouahou! la classe!!
En tout cas, tu prêches une convaincue!!
Gros becs à Louise et à tisote aussi.
Blue
Ce n'est pas frivolité que s'armer de vêtements où on se sent bien. Quoi de mieux en effet pour "attaquer" la nouvelle falaise sociale.
Amitiés .
@Helenablue
classe hein !
kiss too
@Zoé
:-)
bises
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