Je me souviens encore, jeune homme alors et ne pratiquant pas encore la peinture, avoir vu un reportage télé le montrant ainsi, j'avais cru à un numéro d'acteur pas à un pratiquant de la peinture. Je ne comprenais pas alors que peindre c'est être acteur. Cette photo m'émeut beaucoup, beaucoup aujourd'hui. H./S.
@Hervé Merci de ton témoignage qui prouve que l'ignorance fait dire n'importe quoi aux images, parfois. Et que l'éxpérience de l'épreuve, au sens d'éprouver, au sens de la pratique, est fondamentale à certaines connaissances en art. Je crois que Pollock n'avait aucune fascination pour la métaphysique de son oeuvre, il peignait, et cela lui donnait une certaine allure vue de l'extérieur, c'est tout. Après on peut essayer de traduire son mouvement.
@La ROuge C'ets ce qui parait sur la toile, son énergie ça mise en mouvement. Moi j'y ressentait uen certaien vitesse, voire un chaos des vies citadines. J'ai aimé savoir qu'il avait peint toute cette période hors de la ville, loin du tumulte. Je sais pas, comme si j'avias eu besoin de rattacher sa vision à un environnement, alors que sa tête devait à elle seule contenir tout ce flux.
OUI ça me parle parceque cet homme là est dans son oeuvre et même par son mouvement et sa concentration, il l'anticipe... Et le photographe a retransmis la représentation de cette conscience en ébullition oui j'aime cette asymétrie ce déséquilibre et surtout ce monde intime de la création... tout le reste n'existe plus pas même les sons qui entourent... Le peintre "est mangé" par son oeuvre et en même temps qu'il la geste en lui ...
8 commentaires:
Je me souviens encore, jeune homme alors et ne pratiquant pas encore la peinture, avoir vu un reportage télé le montrant ainsi, j'avais cru à un numéro d'acteur pas à un pratiquant de la peinture. Je ne comprenais pas alors que peindre c'est être acteur.
Cette photo m'émeut beaucoup, beaucoup aujourd'hui.
H./S.
Ce que j'aime de Pollock, son énergie. L'élan pour moi c'est l'oeuvre avant les toiles.
oui je préfère
@Hervé
Merci de ton témoignage qui prouve que l'ignorance fait dire n'importe quoi aux images, parfois. Et que l'éxpérience de l'épreuve, au sens d'éprouver, au sens de la pratique, est fondamentale à certaines connaissances en art. Je crois que Pollock n'avait aucune fascination pour la métaphysique de son oeuvre, il peignait, et cela lui donnait une certaine allure vue de l'extérieur, c'est tout. Après on peut essayer de traduire son mouvement.
@La ROuge
C'ets ce qui parait sur la toile, son énergie ça mise en mouvement. Moi j'y ressentait uen certaien vitesse, voire un chaos des vies citadines. J'ai aimé savoir qu'il avait peint toute cette période hors de la ville, loin du tumulte. Je sais pas, comme si j'avias eu besoin de rattacher sa vision à un environnement, alors que sa tête devait à elle seule contenir tout ce flux.
@Laurence
ça te parle, mais tu n'en dis rien de plus... :-)
OUI ça me parle parceque cet homme là est dans son oeuvre et même par son mouvement et sa concentration, il l'anticipe... Et le photographe a retransmis la représentation de cette conscience en ébullition oui j'aime cette asymétrie ce déséquilibre et surtout ce monde intime de la création... tout le reste n'existe plus pas même les sons qui entourent...
Le peintre "est mangé" par son oeuvre et en même temps qu'il la geste en lui ...
j aime cet artiste
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