« Le titre de cet ouvrage, Femmes qui courent avec les loups, histoires et mythes de l’archétype de la Femme Sauvage, est né de mon étude de la biologie animale, en particulier des loups. »
et cet homme là.
"Chaque femme porte en elle une force naturelle
riche de dons créateurs, de bons instincts et d'un savoir immémorial.
Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la
nature sauvage, comme l'animal sauvage, est victime de la civilisation.
La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin
qu'elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et
ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde.
Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature
instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos
rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C'est à nous d'y
répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes,
tant envie et tant besoin.
De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. A travers les " fouilles psycho-archéologiques " des ruines de l'inconscient féminin qu'elle
effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d'allumettes.
La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là."
De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. A travers les " fouilles psycho-archéologiques " des ruines de l'inconscient féminin qu'elle
effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d'allumettes.
La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là."
Mensuel novembre 2012 |
9 commentaires:
j aime bien vous suivre
:-)
je sais pas si les loups sauvages sont victimes de la civilisation en tout cas il posent de gros problèmes aux éleveurs de moutons qui ont déjà disparus pour moitié de nos montagnes. Heureusement on n'en est pas encore là avec notre élément féminin ....
À la campagne, nous sommes en territoire où circulent des meutes de coyotes.(cousins plus petits que le loup, et encore ça dépend des sous-espèces)
Ma blonde arrive assez bien à vocaliser avec eux pour les détourner et ainsi les faire approcher de la maison au point où un jour je me suis installé entre eux et "my dear" pour les enregistrer au micro directionnel. Ça dure un bon moment, j'essaierai de convertir la mini-cassette en Mp3 pour te faire écouter. La froidure s'installe peu à peu chez-nous, avec ses aurores boréales et ces meutes qui excitent la nuit de leurs hurlements.
@lilasvb
:-)
merci à vous
@Helenablue
:-)
@Alex
Je doute que la diminution des éleveurs soient liée à la présence des loups, peut être vaudrait-il plus regardr du côté des politiques mises en place dans le secteur "agriculture" en milieu pastoral.
Ce n'est pas un dossier que je connais assez bien.
Quant à l'élément féminin, ben si, il me semble que l'éradiction du "sauvage" a été bel en bien entrepris à l'encontre des hommes et des femmes pour les corseter et les civiliser, loin de leur nature sauvage, vitale, source de vie.
cf. La Belle verte.
@Makesmewonder
whoo génial ! oui je veux bien entendre ça... quelle expérience!
Je n'ai pas le loisir des hurlements nocturnes de votre "pampa gelée". ça donne quoi au niveau sensation dans l'oreille interne ? peur ? angoisse ? ou simplement de ne pas se sentir seul maître à terre ?
Ça dépend, il y a tellement de mystères autour de ces appels et vocalises, ce qu'ils évoquent dans le psyché des gens, la peur exagérée de ces bêtes longtemps traqués inutilement par l'homme. Pour nous c'est bien plus une musique avec ces modulations extrêmement complexes, signifiantes pour chaque individu de la meute, son rang, son apport à la survie de celle-ci,l'éducation et la protection des louveteaux.
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