Il n'y a que deux conduites dans la vie : ou on la rêve, ou on l'accomplit. Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder ils s'habitueront.
Ce n'est pas toujours facile de matérialiser ses rêves par l'action. C'est pourtant la façon la plus efficace qui soit de les voir un jour se réaliser.
à Michael j ai la ensation en te lisant que tu m offres une porte déjà ouverte et paraohrser subtilement par Char. Et toi Michael, comment t y prends tu pour réaliser quelques rêves ?
à Astrid Allons-y, Sans peur et sans reproches ! Bienvenue et merci Astrid de ton passage et encouragements. Très touchée par ces fleurs de mots qui fleurissent quotidiennement chez toi. :-)
Voilà une question très intéressante. Il serait palpitant d’entendre (lire) la réponse des autres commentateurs de ce billet. Chacun aurait, sans aucun doute, quelque chose d’édifiant à apporter à ce sujet.
Sur la mécanique de l’accomplissement, nous aurions probablement tous une définition relativement similaire, à quelques différences près. De mon côté, je l’imagine ainsi : le rêve serait le moteur; la passion, le carburant; l’effort et le travail, une courroie de transmission; l’hygiène de vie et la planification, le lubrifiant.
Pour ma part, ce qui est a fait une réelle différence et ce qui m’a donné un sublime élan, c’est ceci : au lieu me poser la question «Qu’est-ce qui fait avancer la machine», je me suis demandé «Qu’est-ce qui l’empêche d’avancer». Pour moi, la réponse a été la peur : la peur du ridicule; de ne pas être à la hauteur; de ne pas terminer ce que j’ai entrepris; d’être malaimé ou incompris; etc., etc., etc. Un poison qui m’a paralysé trop longtemps.
Il m’est alors venu cette réflexion : si la peur était un muscle, il serait celui des jambes puisqu’il permet de s’enfuir vite et loin. Je dois commencer tout de suite à m’entrainer le haut du corps si jamais je veux un jour soulever des montagnes.
Il eu aussi cette pensée (d’un auteur dont je ne me souviens malheureusement pas le nom) qui disait approximativement ceci : ‘’les peurs, que l’on imagine souvent comme un mur de brique insurmontable, sont généralement qu’une mince feuille de papier. Il suffit d’un pas courageux en avant pour passer au travers’’. Donc, en résumé, ce que je fais pour réaliser quelques rêves, c’est que je ne laisse plus mes peurs crisper mes actions : la peur, qui était auparavant un dictateur me hurlant ses ordres dans un porte-voix, n’est plus qu’un murmure indicible dans le fond de mon esprit. Je les ai envoyés au cachot et j’attends qu’elles meurent de faim et de soif, puisque j’ai cessé de les abreuver et les nourrir.
Me délester de mes boulets, et m’assurer que la machine de l’accomplissement roule au quart de tour, en l’ajustant fur et à mesure que la vie avance, c’est ça que je veux faire quand je vais être grand ;-)
Mais, voilà, je retourne la question à tous. Vous, que faites-vous pour réaliser quelques rêves?
P.-S. Le délai de réponse fut plutôt long. C’est du a une substance prescrite par mon dentiste – l’hydromorphone, qui engourdit mon cerveau, ces derniers jours.
18 commentaires:
C'est parfait ce matin, je prend et je partage. Merci.
J'espère la rêver et l'accomplir!
Bonne et heureuse année Laure.
@La Rouge
Ah c'ets vrai qu'on est en décâlé !
Bonne matinée alors !
une citation chuchotée par la grande Blue.
@Bizak
Mee too.
Je te souhaite une année aussi prometeuse Bizak !
Fabuleuse citation de Char, n'est-il pas?
:-)
Ce n'est pas toujours facile de matérialiser ses rêves par l'action. C'est pourtant la façon la plus efficace qui soit de les voir un jour se réaliser.
Rêver sa vie ou vivre ses rêves... Vivre sa vie toujours, le bonheur est là, au bout de ce bras, cette pomme est bonne à croquer !
Bonne année.
le film "aujoird'hui" est un peu dans cette optique
Vayamos ! Et la journée suivra !
Un rêve, quand on y croit, devient réalité. De plus, en lui-même, c'est une réalité. C'est ce que j'appelle oniréalisme.
à Helenablue
Oui elle a retenue et éveillée mes sens ds le sens de ce qu il fallait.
merci
à Michael
j ai la ensation en te lisant que tu m offres une porte déjà ouverte et paraohrser subtilement par Char. Et toi Michael, comment t y prends tu pour réaliser quelques rêves ?
à Pierre
ô comme ce petit mot me fait chaud.
Bonne année a toi aussi mon ami.
a très bientôt...
à Alex
c est le titre dont est extrait cette photo ou je me trompe ?
à Astrid
Allons-y, Sans peur et sans reproches !
Bienvenue et merci Astrid de ton passage et encouragements.
Très touchée par ces fleurs de mots qui fleurissent quotidiennement chez toi.
:-)
à Mokhtar
"Oniréalisme", entendu.
:-)
Voilà une question très intéressante. Il serait palpitant d’entendre (lire) la réponse des autres commentateurs de ce billet. Chacun aurait, sans aucun doute, quelque chose d’édifiant à apporter à ce sujet.
Sur la mécanique de l’accomplissement, nous aurions probablement tous une définition relativement similaire, à quelques différences près. De mon côté, je l’imagine ainsi : le rêve serait le moteur; la passion, le carburant; l’effort et le travail, une courroie de transmission; l’hygiène de vie et la planification, le lubrifiant.
Pour ma part, ce qui est a fait une réelle différence et ce qui m’a donné un sublime élan, c’est ceci : au lieu me poser la question «Qu’est-ce qui fait avancer la machine», je me suis demandé «Qu’est-ce qui l’empêche d’avancer». Pour moi, la réponse a été la peur : la peur du ridicule; de ne pas être à la hauteur; de ne pas terminer ce que j’ai entrepris; d’être malaimé ou incompris; etc., etc., etc. Un poison qui m’a paralysé trop longtemps.
Il m’est alors venu cette réflexion : si la peur était un muscle, il serait celui des jambes puisqu’il permet de s’enfuir vite et loin. Je dois commencer tout de suite à m’entrainer le haut du corps si jamais je veux un jour soulever des montagnes.
Il eu aussi cette pensée (d’un auteur dont je ne me souviens malheureusement pas le nom) qui disait approximativement ceci : ‘’les peurs, que l’on imagine souvent comme un mur de brique insurmontable, sont généralement qu’une mince feuille de papier. Il suffit d’un pas courageux en avant pour passer au travers’’.
Donc, en résumé, ce que je fais pour réaliser quelques rêves, c’est que je ne laisse plus mes peurs crisper mes actions : la peur, qui était auparavant un dictateur me hurlant ses ordres dans un porte-voix, n’est plus qu’un murmure indicible dans le fond de mon esprit. Je les ai envoyés au cachot et j’attends qu’elles meurent de faim et de soif, puisque j’ai cessé de les abreuver et les nourrir.
Me délester de mes boulets, et m’assurer que la machine de l’accomplissement roule au quart de tour, en l’ajustant fur et à mesure que la vie avance, c’est ça que je veux faire quand je vais être grand ;-)
Mais, voilà, je retourne la question à tous. Vous, que faites-vous pour réaliser quelques rêves?
P.-S. Le délai de réponse fut plutôt long. C’est du a une substance prescrite par mon dentiste – l’hydromorphone, qui engourdit mon cerveau, ces derniers jours.
Belle écriture, Monsieur Michel.
c'est un bonheur à lire.
Pardon, Monsieur Michael.
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