Georges Bataille a soixante et un ans, c'est un auteur sulfureux mais
confidentiel, il parle de son livre La littérature et le mal, publié en 1958.
Je ne connais pas cet ouvrage, mais ça m'intrigue beaucoup après avoir écouter cette entrevue.
Il y a des choses à prendre ici je crois aussi. Et plus qu'à le lire.
confidentiel, il parle de son livre La littérature et le mal, publié en 1958.
Je ne connais pas cet ouvrage, mais ça m'intrigue beaucoup après avoir écouter cette entrevue.
Il y a des choses à prendre ici je crois aussi. Et plus qu'à le lire.
2 commentaires:
Un peu tiède Bataille. Trop moraliste. L'époque n'excuse rien.
Conseil de lecture : Gide-Genet- Mishima- Intelligence de la perversion de Catherine Millot. Livre dans lequel elle nous rappelle l'un des vocations de l'art : transmuer la souffrance en jouissance, et le manque en plénitude.
Illustrations :
http://www.youtube.com/watch?v=R1bjc0VE7OU
http://www.youtube.com/watch?v=OFPa__V3T-I
Quant au Mal, il se trouve toujours là où l'art n'est pas.
@Astrid
Tu résumes assez bien l'idée que je m'en fait après réflexion.
De retouver le livre de Cheng m'a un peu tiré vers cette notion de "beauté"et, intrinsèquement vers la métamorphose du mal.
Merci pour les liens éclairants.
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