30/06/2010
Grève Radiophonik
Mon petit trésor Québécois à moi ... merci France Inter !
Grève des auditeurs de France Inter
>
> Heure de début : jeudi 1 juillet 2010, à 00:00
> Heure de fin : vendredi 2 juillet 2010, à 00:00
> Lieu : Toute la France et au-delà, pour ceux qui écoutent via le satellite ou internet
Nous auditeurs, n'avons qu'un moyen de nous exprimer : la grève.
> Jeudi 1er juillet, nous n'allumerons pas la radio. Et nous le ferons savoir à France Inter, soit:
par écrit: Radio France, 116 avenue du président Kennedy, 75220 Paris cedex 16 -dire qu'on la connaissait par coeur, cette adresse)
sur le site internet de la station : http://sites.radiofrance.fr/franceinter/radio/ecr/
> en téléphonant aux relations auditeurs (3230) ou directement au 01 56 40 36 20
28/06/2010
de les zémissions littéraires
Celle-ci en particulier, pourquoi non ? parce que je cherchais une chanson de Brigitte Fontaine, que je suis passée de l'Ile St louis à Libido, son dernier album (le clip La metro est divin)et parce que de la littérature à la télévision c'est pas une sinécure !
pour l'écrivain, j'entends... c'est du "divertir", c'est l'oiseau rare que l'on capture, du moins on essaye, en vain.
J' aime bien ces oiseaux-là !
25/06/2010
- "Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage,
- Polissez-le sans cesse, et le repolissez,
- Ajoutez quelquefois, et souvent effacez"
- L' Art poétique - Nicolas Boileau
Le corps imprime au cerveau une cadence propre à chaque tâche répétée à outrance. A chaque métier sans doute appartient une posture.
Je pense que mon cerveau imprime ainsi une cadence d'images et de sons à la seconde qui finissent par réguler d'une certaine façon ma pensée, ma perception disons.
Et finir par ne plus voir que des "cuts", des "fondus enchainés", des répétitions, un rythme bien spécifique, absolument subjectif... comme tout "corps" de métier rattachés à l'image en mouvement.
Le sommeil permet je crois, comme sur un disque dur, d'effacer les données et de restaurer la mémoire vive.
Je me souviens de cet extrait du spectacle "Conditions Humaines" de la compagnie de danse de Pietragalla, que j' avais monté ... j'aimais cette idée du geste répèté " à vide"par les mineurs, qui avaient perdus leurs contextes d'utilité de production, mais dont le corps avait gardé l'automatisme comme ultime recours de survie...
Quand le geste n'a plus d'intention objective, quand il se vide de son sens, nait alors une expression qui, s'il elle n'est pas création d'un nouveau sens en devient aliénant.
"Trois mille six cent fois par heure,
La seconde chuchote
Souviens toi"
Pomme Q.
23/06/2010
Grand Nettoyage
Nils nettoie ses vitres et s'anamorphose dans le bocal de fruits.
Sensation pénible ce week-end que de se croire obliger d'imprimer des images dans le cerveau, alors que je suis enfin à l'horizontal au repos, entre deux tournages, montage, overdose d'images ...
Je suppose que le travail de l'écrivain revient au même.
C' est infernal, tout est prétexte ...
Sensation pénible ce week-end que de se croire obliger d'imprimer des images dans le cerveau, alors que je suis enfin à l'horizontal au repos, entre deux tournages, montage, overdose d'images ...
Je suppose que le travail de l'écrivain revient au même.
C' est infernal, tout est prétexte ...
22/06/2010
18/06/2010
Genre inspirant ?
"A une époque où l'univers de la presse féminine (niant la crise) veut transformer toutes les femmes, en simples accros au shoping,et aux people shopholic également; l'arrivée d'un féminin qui privilégie l'intelligence au porte monnaie est à supporter, c'est le cas de The Gentlewoman. "
Fresh article chez Darkplanneur
mais encore, toujours chez Darkplann...
A l'époque où certaines marques (Zara) pillent sans vergogne les photos de blogueuses de mode (Pandora & Betty), Chanel dresse un hommage dans sa dernière publicité, à toutes les Street Style Photographs qui sommeillent en nous...
"Le Street Style Photographe et sa Muse"
Une image lumineuse et simple, au décryptage immédiat.
Une héroïne faussement bourgeoise, épure impeccable, avec une rebellitude incarnée par des tatouages, un désir d'ouverture sur le monde porté par le tatoo "This world".
Fresh article chez Darkplanneur
the Gentlewoman from trillian galaxy on Vimeo.
mais encore, toujours chez Darkplann...
A l'époque où certaines marques (Zara) pillent sans vergogne les photos de blogueuses de mode (Pandora & Betty), Chanel dresse un hommage dans sa dernière publicité, à toutes les Street Style Photographs qui sommeillent en nous...
"Le Street Style Photographe et sa Muse"
Une image lumineuse et simple, au décryptage immédiat.
Une héroïne faussement bourgeoise, épure impeccable, avec une rebellitude incarnée par des tatouages, un désir d'ouverture sur le monde porté par le tatoo "This world".
Ainsi suit
un match de foot calamiteux...
j' ai bien fait de garder le casque sur les oreilles, Jo'!
Préparation d'une bande son pour le final du dernier spectacle d'une grande prof de danse qui m'a fait croire que la scène était un truc plus que merveilleux !
Fleur de paris, La vie est un bouquet de violettes, Casse Noisettes, Montand, Rabbi Jacob, j'aime le Music hall !
17/06/2010
De l'utilité de ma culture Mainstream
Quel est le point commun entre Lady Gaga et "La Nouvelle Star" du soir ?
Un grain de zeste de ma culture "mainstream", dont vous trouverez la bonne définition dans le Darketing de Darkplanneur consacré à l'auteur du livre "La culture mainstream, la culture qui plait à tout le monde." ... comment ça marche ?
( Un sujet qui est aussi intéressant à saisir qu'à vomir )
Une culture que j' aborde ici très rarement, au risque de perdre quelques aficionados de ce blog...
mais étant en phase de décompression intensive, (l'excuse n'est pas bidon) je décide en mon âme et conscience de rédactrice en chef de vous faire partager les émotions du jour avec la grande nommée Luce, gagnante du "télé crochet" français de ce soir. Ce petit bout de femme sincère, sensible, qui est arrivé au casting avec des fausses moustaches, pour déconner, pour rien, une petite infirmière aux tons acidulés, qui s'empare des chansons avec une grande émotion ...on lui pardonnera donc les faussetés de voix sur ce dernier prime!
Luce interprète "Ne me quitte pas"
Un grain de zeste de ma culture "mainstream", dont vous trouverez la bonne définition dans le Darketing de Darkplanneur consacré à l'auteur du livre "La culture mainstream, la culture qui plait à tout le monde." ... comment ça marche ?
( Un sujet qui est aussi intéressant à saisir qu'à vomir )
Une culture que j' aborde ici très rarement, au risque de perdre quelques aficionados de ce blog...
mais étant en phase de décompression intensive, (l'excuse n'est pas bidon) je décide en mon âme et conscience de rédactrice en chef de vous faire partager les émotions du jour avec la grande nommée Luce, gagnante du "télé crochet" français de ce soir. Ce petit bout de femme sincère, sensible, qui est arrivé au casting avec des fausses moustaches, pour déconner, pour rien, une petite infirmière aux tons acidulés, qui s'empare des chansons avec une grande émotion ...on lui pardonnera donc les faussetés de voix sur ce dernier prime!
Luce interprète "Ne me quitte pas"
16/06/2010
le film du mercredi
sans Nils je serai morte sans avoir vu ça !! ouh !
Lady Gaga et Beyonce réunies ... talentueuses plantureuses, allez pour le fun de la déco, des détails qui tuent, des clins d'oeil cinématographiques... pour la musique ben mettez du jazz !
15/06/2010
Ecrire, dit elle
Il est des beautés dans l'anorexie de nos sexes que nulles souffrances ne déparent.
Longtemps sur un piano j' ai écrit des lettres noires, j' y ai laissé peu de blanc, mon petit tombeau rudimentaire à ouvrir chaque jour, enfoncer les touches une à une dans une terre ocre et profonde, je refermai la tombe chaque soir, les mains sales. J'écrivais pour moi, pour personne, pour ne pas en crever.
Le ventre vide errant de salles obscures en bibliothèques rayonnantes, boulimie de savoir... tout mais pas n'importe quoi, la danse, le théâtre, le corps en mouvement, mettre son corps en mouvement mais ne le nourrir que cérébralement. Malaises.
De temps à autre je plongeais dans la mer ... mon corps entier enrobé dans le réel de l'apesanteur, les bulles d'une main plongeante, la froideur sur la peau devait être ce qu' on appelait "réel".
La réalité est une notion que j' ai perdu à un moment donné.
La lucidité virtigineuse de soi dans le monde a peu à peu remplacé l'enveloppe corporelle et je n' étais plus moi, mais quelque chose dans un monde ultra sensible, d'une violence inouïe. Plus de carapace.
Chercher une caresse aux bords des quarantième rugissants
J'avais conscience que la force lumineuse qui m'avait propulsé dans cet état pouvait se transformer en une force féroce, créatrice, destructrice ... et n' ayant pas les armes, ni les nerfs assez solides pour y faire face, effectivement, je tombais à genoux, puis à terre sous les soubresauts de mon corps qui expurgeait les vipères.
La nuit où je visitais en rêve l' asile d'aliénés, la ronde des camisoles et les suicides parachutés me firent sortir de cette torpeur nauséabonde. Au matin, je fermais cahiers, livres et parti battre la campagne avec le chien.
Je n'y reviendrais pas, pas tout de suite, pas ici, l'écriture est une douleur, il faut beaucoup de force et d'amour pour toiser ses démons, et les offrir en pâture, avec de la hauteur.
14/06/2010
De l'utilité de la Conversation
Interrogations multiples autour de l'intérêt des blogs, sujet dissonnant entre blogeurs et non blogeurs, incompréhension dans un couple de cette part d 'intime avec des "inconnus", la parole d'une nation narcissique en mal de reconnaissances, des pirates encagoulés de pseudos et pavés de mauvaises attentions ... des questions/réponses infinies dans laquelle je cherche ma propre définition.
Dans ma quête du jour, un des articles de Pierre Assouline, extrait de son blog La République des Livres, dans la rubrique fort passionnante "weblogs" ...
about Pierre Assouline, à voir ...
"La Critique de la raison blogosphérique reste à écrire. Une fois dressé l’inventaire des évidences (rompre la solitude, frotter son intelligence à celle des autres, se forger une opinion à l’écoute de voix discordantes, participer à une joute pour elle-même, s’informer tout simplement…), on a parfois du mal à comprendre que tant de gens passent tant d’heures devant leur clavier à rédiger des textes à seule fin de partager, de critiquer, de dénoncer ou de convaincre. (…) Ils s’inscrivent dans une histoire, celle de la conversation. Encore faut-il s’entendre sur le mot. Longtemps, l’échange de lettres fut tenu pour une conversation. Avec un absent, certes, mais conversation tout de même, au sens le plus large. Mais de quoi s’agit-il au juste depuis la conversatio à l’entretien, en passant par la disputatio et le colloque ? D’être ensemble. En chair ou en ligne, on y revient toujours sous une forme ou une autre. Briser la rumination en solitaire, frotter son intelligence à celle des autres, confronter sa vérité à l’arc-en-ciel des vérités. Dans les temps les plus reculés comme à l’âge technologique, ce sentiment de la convivialité héritée du banquet philosophique, fut-elle nettement plus rude, implique l’appartenance à un groupe, une famille, une tribu, un club, toutes choses qui se retrouvent aujourd’hui contenues dans le terme ambivalent de « réseau » (…)
Dans ma quête du jour, un des articles de Pierre Assouline, extrait de son blog La République des Livres, dans la rubrique fort passionnante "weblogs" ...
about Pierre Assouline, à voir ...
"La Critique de la raison blogosphérique reste à écrire. Une fois dressé l’inventaire des évidences (rompre la solitude, frotter son intelligence à celle des autres, se forger une opinion à l’écoute de voix discordantes, participer à une joute pour elle-même, s’informer tout simplement…), on a parfois du mal à comprendre que tant de gens passent tant d’heures devant leur clavier à rédiger des textes à seule fin de partager, de critiquer, de dénoncer ou de convaincre. (…) Ils s’inscrivent dans une histoire, celle de la conversation. Encore faut-il s’entendre sur le mot. Longtemps, l’échange de lettres fut tenu pour une conversation. Avec un absent, certes, mais conversation tout de même, au sens le plus large. Mais de quoi s’agit-il au juste depuis la conversatio à l’entretien, en passant par la disputatio et le colloque ? D’être ensemble. En chair ou en ligne, on y revient toujours sous une forme ou une autre. Briser la rumination en solitaire, frotter son intelligence à celle des autres, confronter sa vérité à l’arc-en-ciel des vérités. Dans les temps les plus reculés comme à l’âge technologique, ce sentiment de la convivialité héritée du banquet philosophique, fut-elle nettement plus rude, implique l’appartenance à un groupe, une famille, une tribu, un club, toutes choses qui se retrouvent aujourd’hui contenues dans le terme ambivalent de « réseau » (…)
La conversation ne connaît pas de temps mort dans ce monde qui ignore les fuseaux horaires ; il y a toujours quelqu’un à qui parler quelque part. La parole y coule dans une circumnavigation, un fleuve dans le flux de l’information et de la connaissance. Il s’inscrit naturellement dans ce nouveau monde où les vérités ne sont plus intangibles mais évolutives d’heure en heure. (…) C’est ainsi : il y en aura toujours pour nous éblouir par la finesse de leur jugement et l’étendue de leur culture, et d’autres pour nous accabler par leurs oellières et leur bêtise à front de taureau. C’est un précipité de l’âme humaine dans tout l’arc-en-ciel des sentiments, de la pure générosité à la bassesse la plus noire, du don de soi à la mesquinerie la plus vile, du goût des autres à l’étalage du cynisme satisfait. On finirait par croire qu’il en est dans le monde virtuel comme dans le monde réel. C’est à se demander s’ils ne font pas qu’un dans la vraie vie. (…) Toute personne qui débarque pour la première fois sur la Toile et pénètre dans un forum est immanquablement frappée par la violence qui s’y déploie. Elle s’imaginait que la conversation y serait ruisseau ou jardin anglais, et se retrouve prise dans un champ de bataille. Convenons que le ton y est assez éloigné du plaisir aristocratique de déplaire. Parfois littéraire mais le plus souvent crue, cette ardeur donne de prime abord un écho brutal à la conversation (…) Bien que le blog n’ait pas de couleur ni d’odeur, on sent bien lorsque certains commentaires sont écrits en état d’ébriété. Quelque chose d’imbibé en eux leur confère une grâce et un humour inhabituels. Ivres de leur droit à la parole, certains pourraient être soumis avec succès à l’alcootest en ligne dont le protocole reste à inventer (…) Il faut voir dans ce florilège tant un hommage à une pratique et à des pratiquants qui n’ont pas toujours bonne presse, qu’une tentative de décryptage des nouvelles formes de la conversation."
11/06/2010
Naked – Suite 604
Mise en images des mots insufflés par la Note d' hôtel d' Helenablue, un beau projet de récoltes de textes autour des chambres d' hôtels.
Et un autre regard de la Suite 604, sur le blog de Laurence, "Au devant de qui le porta"...
De tout ce que nous offre les relations textuelles par claviers interposés, il est rassurant de saisir la frontière si peu virtuelle de la rencontre en chair et en os.
Se jeter à l’autre, s’y risquer, se frotter au regard, à la joue, à la main qui tend l’oreille quotidiennement, des belles histoires en conte, en rencontre, en amitié, en passion, en abandon, en désillusion … c’est tout cela au delà de l’écran, mais le jeu en vaut-il la chandelle ?
Essai transformé également chez Darkplanneur ...
Thank you all of you
10/06/2010
Travelling
Elle a pris le train de 15H12, ... toutes tentatives de retour en arrière définitivement perdues, pour le meilleur...
08/06/2010
06/06/2010
Régler la note
En écho aux Notes d' hôtels publiées chez Helenablue, et en attendant la mienne ...
C'est du roux, du schizo, du Ferrara, un perfecto taillé pour Helena... c'est dimanche, je relève pas les manches ! moi ça me va .
C'est du roux, du schizo, du Ferrara, un perfecto taillé pour Helena... c'est dimanche, je relève pas les manches ! moi ça me va .
05/06/2010
03/06/2010
02/06/2010
Happening du 31 mai
"-Tu l'as vu ?
-... retire ton masque, on comprend rien...
-Tu l'as vu ?
-vu quoi, ton cul ?
-Tu l'as vu... l' avion ?
- ...
-Tu l' as vu l' avion ? je suis sûr que tu l' as vu ...
- l' avion... quel avion ?
-J' suis sûr que tu l' as vu ..."
Nils sort; Olivia reste interloquée, Darkplanneur enchaîne ...
-... retire ton masque, on comprend rien...
-Tu l'as vu ?
-vu quoi, ton cul ?
-Tu l'as vu... l' avion ?
- ...
-Tu l' as vu l' avion ? je suis sûr que tu l' as vu ...
- l' avion... quel avion ?
-J' suis sûr que tu l' as vu ..."
Nils sort; Olivia reste interloquée, Darkplanneur enchaîne ...
La Cage
Performance artistique esthétique ludique musicale, spatiale
pendant 3 jours dans "La Cage", sur une idée du collectif Amragol
"4 garçons qui se sont mis en tête de produire une musique personnelle et sensorielle, au mépris du bon sens "
"La Cage" avec Viktor Kolbitr, Nils Beaudelot, Bérengère Lefranc
pendant 3 jours dans "La Cage", sur une idée du collectif Amragol
"4 garçons qui se sont mis en tête de produire une musique personnelle et sensorielle, au mépris du bon sens "
Je suis arrivée là dedans ne sachant pas de quoi ni qu'est-ce, juste que Nils m' y avait convié ... j' ai posé mon derrière sur une des chaises et j' ai regardé, écouté ... formidable moment de liberté temporelle et de liens accidentelles tissées sur des sonorités planantes...
Au commencement, je me suis dit que j' allais perdre mon temps, comme tout le monde, si souvent taillé dans des timings, ... et je me suis calmée, là je m'octroyais du vide, cette liberté du cahot créatif que les autres me renvoyait peu à peu investissait mon cerveau bruyant.
J' ai pû alors laisser place au à ce qui naissait ou ne naissait pas dans ce minuscule espace de liberté où chaque individu prenait sa place, son mouvement, se rejoignait, s' annulait, donnait du sens, ou pas, mais avec respect. Un loft façon belleville, sans histoires apparentes ...
Et bien ça calme de lâcher prise, de ne rien attendre ...
Une heure et demi plus tard, ma tête rejoignait leur état d' être là simplement, et ce fût une bonne chose, que j' avais oublié depuis longtemps.
Le lendemain, je me remémorais ces instants d' incidents, pendant qu' Olivia Ruiz sortait du Cabinet des Curiosités ... ( bientôt sur darkplanneur.com), et que j'étais en "pétard" parce que l' happening prévu avec Nils n'avait pas "fonctionné" comme j' avais prévu dans ma tête de cabocharde qui veut tout maîtriser... en revoyant les images je sais que "ça", l' accident, avait eu lieu... j' ai remercié Nils de m'avoir rendu cette conscience de la nécessité du lâcher pris, sortir aussi de sa cage, de son propre fonctionnement, le court-circuiter de temps en temps pour mieux ré-agir.
"La Cage" avec Viktor Kolbitr, Nils Beaudelot, Bérengère Lefranc
01/06/2010
DEFIFOTO: Ombre
Le parapluie de Beaubourg
Photo de laure K. inspirée par le rond lumineux du sous-sol au Centre Pompidou, parapluitée
par Pauline R., l'instigatrice du "coup du parapluie" et de l'intitulé ... chapeau !
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