31/12/2010

HAPPY NEW YEAHH

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24/12/2010

35 anos

Hello everybody, je fais cours, vous remercie de vos derniers commentaires on Mary Poppins's scene, c'était
un avant goût festif, tellement la vie est une fête ( !!)

Donc en ce jour de fête, youplaboum, et comme j'ai égaré mon tel portable en chemin depuis 2 jours,  et que je ne me "connecticuterai" pas sur le web pendant les autres jours, je vous souhaite d'être JOYEUX pour au moins le temps d'une gorgée de mousse, en ces jours de famille, pas famille, repas gargantuesque, avec ou sans marrons, dinde, chapon, ramasse ta bûche avant que je te l'entrave...etc.

Moi je fête mes 35 bougies tranquillement parce que Bon Dieu, y a bien autre chose à penser qu'à ça le 24 décembre... j'veux qu'on  me foute la paix et pouvoir aller me promener là où bon me semble. C'est tout ce que je veux. Et pas de coup de fil, et pas de repas infini, j'aime les misanthropies du 24 décembre !
( je ne sais pas s'il faut croire tout ce qu'on écrit !)

Vale, amigos  !

A très vite

21/12/2010

Feuille d'or

              YUSHANIA par BALTHA- Appels d'Air collection-
"Le papier sur lequel j'ai peint m'a été donné par une voisine galériste dont le mari graphiste avait soumis ce papier à la bambouseraie d'Anduze pour en faire un calendrier; ses irrégularités, reproduisant la surface d'un bambou, ont été obtenues par une impression au laser, technique de pointe alors.

C'est un projet qui n'a, hélas, pas abouti, le roi et la reine auxquels vous faites allusion ci-dessus ne fréquentaient apparamment pas alors la bambouseraie d'Anduze.
Vous avez tout bon aussi pour cette autre raison c'est que vous peuplez ici royalement ce que je souhaiterais faire avec une série que j'ai appelée "Yushania" du nom d'une variété de bambou au corps bleuté."
Extrait de commentaires chez Baltha d' Appels d' Air  

 
Claude Debussy Chansons de Bilitis "The Flute of Pan"

19/12/2010

D'une pierre blanche

Il y a des dimanches comme ça, où ... ahh, les heures, minutes, secondes se suffisent à elles-même...

 

et ce jour là, vous allez rencontrez pour la première fois votre idole, une des idoles de l'enfance... pour ma part je garde le souvenir du bisou donné à Chantal Goya ( sans effets secondaires d'être emporté à bord d'un soulier volant, mais pas loin quand même ! ... )

Ce jour là,  il s'agissait d'Arturo Brachetti... le magicien transformiste !
Donc pierre blanche sur le calendrier de Louise !

Sweet dreams ...

18/12/2010

Au web ce soir

Je suis passée un peu vite sur le metteur en scène de Cachafaz, Benjamin Lazar, dont je découvre
l'univers avec appétit, pour la mise en bouche:



Un pied dans le théâtre baroque et un goût certain pour la performance et le mime, il est, entre autre, l'auteur de l'opéra Au web ce soir, conçue et crée exclusivement pour le web en avril 2009, au Théâtre de Quimper en Bretagne, grâce à  un dispositif d'une caméra/public fixe, à laquelle doit se contraindre la scénographie.

URSULE 1.1
Représentation en direct le 29 avril 2009 pour 4000 personnes ayant réservé leurs connexions au site.
Une expérience de théâtre web unique en son genre en France. 
( A lire, article le Télégramme )

Au web ce soir - URSULE 1.1

Un "web opéra" inspiré de la Légende Dorée d' une pucelle nommée Ursule, princesse de Cornouaille qui embarqua 11.000 vierges en pèlerinage jusqu'à Rome, et qui furent assassinées par Attila à Cologne.
Ici, la jeune Ursule bretonne de 2009 tente le voyage via écran interposée pour nous emmener dans sa quête identitaire de son prénom maudit Ursule, la légendaire sainte sacrifiée.

Il y a quelque chose du théâtre de Molière, les partitions musiques et chants m'ont littéralement enchantées, et je me suis vite laissée prendre au jeu, même si de prime abord, la comédienne principale n'a réussit à me séduire que par le son de sa voix.  Les enchainements de tableaux avec effets et trucages à l'ancienne sont fameux.

A déguster comme on se rend au théâtre, en fermant les portes derrière soi.
La scène est ici.


17/12/2010

En voiture Simone

 Dans la série "J'ai découvert un blog", laissez-moi vous présentez EN VOITURE SIMONE, déniché d'abord sur la Face du Book of life, je ne sais trop comment.

Voici la recette quotidienne:
Scènes de vies du couple Raoul et Simone, au gré d'une situation emblématique proposée à travers une photographie. Idée simple, dialogues croustillants d'humour et de réfèrences cinématographiques, des petites perles scénaristiques écrites par Patrick Pelé.

Mais bizarrement, très peu de commentaires à ce jour sur le blog, cette série fonctionne surtout sur facebook, parce que le monde se divise en deux catégories : ceux qui fessebook et ceux qui blogue ?

Mérite à mon avis des visites nourries ce blog-là, à mon huuuumble avis...
Have a nice day !



Toute retournée

En voiture Simone: Toute retournée:
Simone, exténuée :

- Tu sais chéri...

Raoul, qu'on entend avoir du mal à récupérer son souffle :

- Quoi... ?

- Quand tu m'as parlé de ta surprise, et que tu m'as dit qu'elle commencerait par un roulement de tambour, je t'avoue que je m'attendais à tout sauf à ça... Quelle folie !

- Tu n'as pas aimé le mode essorage ?

- Ah si, j'ai adoré ! Mais là, je voudrais un peu de tendresse, j'ai besoin d'adoucissant, sinon je vais sortir un peu froissée !

- Et si on se faisait un petit programme rapide, genre rinçage, juste pour le plaisir ?

- Ah non, non, Raoul, toi tout seul si tu veux mais moi, là, je suis lessivée...

16/12/2010

Cachafaz

Mardi soir, Opéra Comique in Paris.
Après avoir bu un coup ici, (combien de bar s'intitule "Le Mistral " à paris, un paquet, je crois!)
Petite pensée pour Blue, et plus loin vers Christian... Mistral, évidemment !

Une"Tragédie barbare"
Opéra d'Oscar Strasnoy sur un livret de Copi. 
Création et Mise en scène par Benjamin Lazar au théâtre de Cornouaille.

C'est toujours un voyage que d'aller à l'opéra, d'abord "opéra comique" qui, comme son nom le souligne, amène une dédramatisation au dramatique, mais je ne vais pas ici en faire l' analyse, je n'y entends rien. Je viens assister au spectacle d'une amie qui est costumière...
Assise au 3 ème balcon de la farce, avec deux autres compères, des gradins sur scène semblent servir pour quelques spectateurs qui n'auraient pas de place... c'est étrange, il vont assister sur scène au spectacle ? Une femme enceinte va même s'y asseoir, ils gardent tous leurs manteaux, on les sens pas très à l'aise néanmoins.

Scène 1, Acte 1.
Cachafaz le souteneur et sa blonde transexuelle Raulita, sont au lit, dans une piaule pourrie au coeur d'une sorte d'un conventillo (petit couvent) de travailleurs pauvres. 
"Lève-toi" sont les premiers mots chantés à capella dans le noir, tandis que l'on découvre la chambre du couple, et par la même occasion, on devine avec amusement que les invités des gradins font partis du choeur de la pièce.

La scène de ménage est crue, sexuelle, tout en étant d'une justesse et d'une tendresse pour ce couple de marginaux.. Ici, point de cages aux folles, les gestes sont subtiles, Raulita n'est pas une caricature, elle est elle. Lui, un macho aimant.
Pour un vol de saucisse, leurs vies et celles des habitants du conventillo vont basculer dans un cannibalisme presque logique, comme pousser par l'appétit du désespoir des populations crève-la-dalle.

Des grillades aux boyaux de flics,  et l'odeur qui remonte jusqu'à nos narines ( j'aime bien ce décalage du graillon à l'opéra), tout ca mené tambour battant, jouissif, avec les voix des deux compères magnifiques, une direction musicale tout aussi ludique, et une scénographie parfaitement rythmée, surprenante, décalée.
Une révérence d'immoralité. Un régal.

Je n'ai pas trouvé de vidéo assez représentative de ce spectacle, en voici donc une autre d'une pièce de Copi qui rendra mieux compte de l'ampleur de la farce:

 

13/12/2010

Voix-yage

ITW de Nicole Garcia 
Eclectik Rebecca Manzoni (France Inter-

if I were blue



if i were blue
like David Hockney's pool
dive into me and glide
under a California sky
inside your mouth and nose and eyes am i


if i were blue
like Edward Hopper's afternoon
lift the sash to air the breeze
let my summer flush your cheek
lie supine beneath the soft and gentle season


would that this were that
this is more like black
dark as darkest indigo
sickly sweet and ripe
like nothing
smothering light


bring on the pelting rain
palpable sensual pain
like Goya in his studio
in the thick of night
absence is
dull and silent


if i were blue
a pale Picasso blue
as beauty is to sorrow
let me cover you in sleep
and in your melancholy i would give you peace


if i were blue...


Patricia Barber 

09/12/2010

like a princess ?

Okay.

"Laure et Louise créent la femme" ( vague supercherie du slogan)

Plus éphèmère, tu meurs.

Elle n'aura pas passé la nuit, un gamin l'a littéralement piétiné tout à l'heure...
Pas grave. ( si je le chope demain...)

08/12/2010

L&L Découverte



Instants improvisés un soir d'hiver, et dont seule se souvient ma caméra, à la découverte musicale de l' Album d'Ödland...

07/12/2010

Ödland

sur un rythme d'une autre langue, to "our land"...



Reçu ce jour dans la boitolettres, l' album Ottocento du groupe Odland, premier opus de Lorenzo Papace, l'un des compères du blog P&P, Le Petit echo malade.

J'avons ouvert ça précieusement, j'avons rien allumé d'autres que le sapin de la noïelle, puis j'avons pris aussi la caméra et laissez l'imagination de Louise partir à Quincampoix...

06/12/2010

Flash

Du regardant au regardé

"Un credo naïf voudrait que le documentaire ne soit pas mis en scène,
qu’il «montre les choses comme elles sont». 
Mais même filmés sur le vif et à leur insu, choses et gens, situations et événements prennent un
certain sens selon la façon de les montrer et de les monter. 
Faire un film, même documentaire, suppose toujours une triple opération de transposition : 
a) l’agencement d’une situation devant la caméra (ce qu’on nomme le profilmique), 
b) le cadrage, et  
c) le montage/mixage. Même si l’on n’agit pas sur les protagonistes
(cinéma direct à l’improviste), on n’en cadre et n’en monte pas moins la
scène.  

En outre, la plupart des documentaires ne sont pas tournés par surprise
mais avec la collaboration des filmés, et suivant différents degrés d’élabo-
ration et d’interaction. On peut ne rien demander ou plutôt demander aux
gens de faire comme si de rien n’était (c’est le cinéma direct de Fred Wi-
seman par exemple) ou les interviewer comme Marcel Ophuls, ou encore
leur demander de «réciter» sur les lieux leur témoignage oculaire, comme
dans les films de Richard Dindo... Cela crée chaque fois une mise en scè-
ne différente, qui se noue par un certain type de directives au tournage et
un certain contrat de lecture (type d’inférences, mode de vérité, régime de
croyance) entre le film et le spectateur. 
La vérité ne relève pas de l’immédiateté (plus c’est instantané, plus ce serait vrai !), 
mais de ce que produit la règle du jeu établie entre filmeur et filmé, et film et spectateur. 
Et elle varie considérablement de l’impromptu (Vertov) à la reconstitution (in situ ou en
studio), en passant par la pose (façon Nanouk), l’interférence entre tourna-
ge et monde autour (façon Rouch), la fiction jouée par des autochtones (La
terre tremble de Visconti par exemple), ou encore le remontage d’archives. 

La question n’est donc pas de savoir ce que pourrait bien être un «vrai»
documentaire sans mise en scène, mais comment filmer et montrer au
mieux (par quelle forme de mise en scène) telle ou telle réalité ? Quel
type de vérité, quel sens, tel dispositif produit ?"

Texte d'ouverture du Colloque CLEMI, en 2009 Les mises en scènes documentaires"
Cinémathèque de Toulouse.

05/12/2010

Portrait ?

Tout est une question de lumière et de temps, de tempo... j'aimerais éviter l'étape du montage, éviter "l'ellipse" temporelle, que tout soit vu en une prise comme on regarde longtemps un portrait peint.

Je dois essayer quelque chose ...

ça peut paraître contradictoire de faire défiler 24 images par sec ( vidéo) et de vouloir n'en retenir qu'une... effectivement, pas grand intérêt à filmer en fait, si je le présente ainsi..

Etant donné que ce qui diffèrencie la photographie, la peinture d'une image en mouvement c'est le temps; la notion temporelle du temps de la diégèse, de l'histoire, et le temps qui s'écoule proprement parler quand on regarde le film.
Voilà, ça, ça m'intéresses beaucoup... ce que le mouvement peut amener dans l'exercice du portrait.

Je ne sais pas si c'est intéressant de formuler ces questionnements j'aime bien me prendre la tête là-desssus.
Comment vous, vous portraitisez ? comment se passe le processus ?
en écriture, en peinture ...

03/12/2010

Graal

Je cherche la forme définitive d'un portrait à 25 image secondes qui soit aussi puissant qu' une peinture, aussi rapide qu'un déclic photo. C'est ça que je cherche.

Retour de Flamme

Toile acrylique de Michel Plamodon -

Le soleil pointe à peine frisant la colline de ses tentacules dorées, je sommeille encore dans les aléas de marchés et ville africaines, marocaines, peut être, un marchand de tissus, des musiciens à tous les coins de rue, ce devait être un festival, la lumière sombre, une nuit tombante... je suis fatiguée dès l'aube d'avoir tant marcher dans ces rues inconnues... appel ? 

  Blue Print- Imothep

01/12/2010

Neige ?

Le monde se divise en deux catégories:

Ceux qui râlent contre la neige et ceux qui l'attendent pour s'emerveiller.

... ma luge est prête !

Fabienne Verdier, rencontre

  Devenir un corps pinceau-pensant, suspendu à la loi de la gravitation. Apprivoiser le tombé d'un drapé d'encr...