@Lorca Ces images figées de femme dans toute sa nudité,même en éléments séparés, mais disposées d'une manière symétrique et flottante sur l'eau, finiront, peut être oxydées, hélas! Mais la musique subliminale de Rebekka Karijord avec une ambiance et une voix trés sensuelles,nous énivre et nous transporte et nous rappelle, que ce qui est beau est souvent éphémère. Et je comprends, mieux, Lorca, pourquoi, dans tes photos précédentes, dans le musée de Bourdelle,tu photographiais et tu fixais des statues, qui elles, auront une trés longue vie!
@Bizak merci pour l'éclairage, j'avoue pour l'heure ne pas analyser mes juxtapositions, seulement assembler des morceaux de puzzle qui trainent dans l'eau, dans l'air, dans Dieu sait quoi... j'aime aussi ces moments de suspens. Même s'ils sont teints d'oxydations mélancoliques, cette suave voix m'a happée l'oreille lorsque plus loin je tombais des nues! ah !
C'est beau ces oxydations qui parlent de la fragilité des vies et de la beauté qui fuient! La voix de Rebekka Karijord est superbement vibrante et sensible, belle découverte!
@Esprit de Femmes Oui, pareillementje me suis dit masi sans y poser de mots, merci poru les tiens alors et découverte également de Rebekka K. avec ce très beau chant comme un adieu.
Qu'est ce qu'il fait ce nénuphar sur la surface de cette eau calme?Le nénuphar bleu est le nom d'un de mes personnages du feuilleton de boucle d'or en la personne de Momokh; Voyez le commentaire du 20 mai, si vous doutez de la parole d'un scout. Mais bon Dieu, qu'est ce qu'il fait dans les parages, ce nénuphar, qui ne peut être que Momokh qui veut troubler les eaux calmes de Lorca.Il doit y avoir anguille sous ce nénuphar!
@Bizak Mais tu me vois partout, vieux compère!Quelle herbe aurais-tu donc mâché pour avoir tant d'hallucinations et confondre un surnom dont tu m'affubles et mon personnage dans le conte? Allez, va reprendre le conte, s'il te plaît, je t'y attends de clavier ferme; on a du pain sur la planche et cesse de voir à travers tes hallucinations des anguilles là où il n'y a que beauté, volupté et inéluctable oxydation !
@Mokhtar Ne t'ayant pas vu rôder dans les parages, dans la journée blogotoire,je m'étais mis à ta recherche, et comme un mirage, je t'avais pris pour un nénuphar.
14 commentaires:
@Lorca
Ces images figées de femme dans toute sa nudité,même en éléments séparés, mais disposées d'une manière symétrique et flottante sur l'eau, finiront, peut être oxydées, hélas! Mais la musique subliminale de Rebekka Karijord avec une ambiance et une voix trés sensuelles,nous énivre et nous transporte et nous rappelle, que ce qui est beau est souvent éphémère. Et je comprends, mieux, Lorca, pourquoi, dans tes photos précédentes, dans le musée de Bourdelle,tu photographiais et tu fixais des statues, qui elles, auront une trés longue vie!
@Bizak
merci pour l'éclairage, j'avoue pour l'heure ne pas analyser mes juxtapositions, seulement assembler des morceaux de puzzle qui trainent dans l'eau, dans l'air, dans Dieu sait quoi... j'aime aussi ces moments de suspens. Même s'ils sont teints d'oxydations mélancoliques, cette suave voix m'a happée l'oreille lorsque plus loin je tombais des nues!
ah !
J'aime beaucoup la première photo, en nénuphar...
C'est beau ces oxydations qui parlent de la fragilité des vies et de la beauté qui fuient! La voix de Rebekka Karijord est superbement vibrante et sensible, belle découverte!
Superbe ! j'exalte ! c'est dilatant !
@helenablue
"en nénuphar"...
:-)
@Esprit de Femmes
Oui, pareillementje me suis dit masi sans y poser de mots, merci poru les tiens alors et découverte également de Rebekka K. avec ce très beau chant comme un adieu.
@Anne des ocreries
Dilatant ?! tu m'en diras tant !
Aha!
Qu'est ce qu'il fait ce nénuphar sur la surface de cette eau calme?Le nénuphar bleu est le nom d'un de mes personnages du feuilleton de boucle d'or en la personne de Momokh; Voyez le commentaire du 20 mai, si vous doutez de la parole d'un scout. Mais bon Dieu, qu'est ce qu'il fait dans les parages, ce nénuphar, qui ne peut être que Momokh qui veut troubler les eaux calmes de Lorca.Il doit y avoir anguille sous ce nénuphar!
@Bizak
Ah! non, je n'avais pas lu... mais là il n'y a pas anguille sous roche, tout est calme et volupté (CQFD)
:-)
@Bizak
Mais tu me vois partout, vieux compère!Quelle herbe aurais-tu donc mâché pour avoir tant d'hallucinations et confondre un surnom dont tu m'affubles et mon personnage dans le conte?
Allez, va reprendre le conte, s'il te plaît, je t'y attends de clavier ferme; on a du pain sur la planche et cesse de voir à travers tes hallucinations des anguilles là où il n'y a que beauté, volupté et inéluctable oxydation !
@Mokhtar
Ne t'ayant pas vu rôder dans les parages, dans la journée blogotoire,je m'étais mis à ta recherche, et comme un mirage, je t'avais pris pour un nénuphar.
Pourquoi est-ce si triste, en référence au temps oxydant qui passe?
occis dans l'oxydant occident.
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