Il y avait un texte en exergue, en incipit, et mieux que cela un "liant" prévu entre les images.
Une invitation.
Il y avait une main tendue à visée unique où chaque minute, heure, seconde répétaient le mouvement vers.
Et il y a eut un avant et un après. Entre les deux... une agression.
Puisqu'on m'y invite, je vais projetter dans cet entre deux ces quelques mots.
La main tendue ressemblerait au douloureux espoir de ces mots qui n'ont pas pu prendre place là où ils étaient prévus. Le sens en a été brisé. Etouffé. Une fois encore. C'est toujours une fois de trop, non ?
On ne peut s'empêcher de donner du sens. On ne peut empêcher la volonté d'acquérir un peu de grandeur, ni de rêver ces images dans un espace unique et plus grand, là où chacune aurait l'espace de dialoguer librement.
Je suis allée ensuite boire des canons avec Le bourdon masqué qui s'en est tenu au jus vitaminé, parce que j'avais grand soif de verres alcoolisés.
Une invitation.
Il y avait une main tendue à visée unique où chaque minute, heure, seconde répétaient le mouvement vers.
Et il y a eut un avant et un après. Entre les deux... une agression.
" Elles ont l'air de dialoguer entre elles... mais ce n'est que pure apparence. Le vrai dialogue se fait avec vous, vous qui passez. Alors ces images reflètent ce que votre âme y projette. Rieuses ou mélancoliques, elles vont se loger dans votre mémoire. Il y a tant de place ici pour le quotidien et le rêve."
- Laurence Guez -
Puisqu'on m'y invite, je vais projetter dans cet entre deux ces quelques mots.
La main tendue ressemblerait au douloureux espoir de ces mots qui n'ont pas pu prendre place là où ils étaient prévus. Le sens en a été brisé. Etouffé. Une fois encore. C'est toujours une fois de trop, non ?
On ne peut s'empêcher de donner du sens. On ne peut empêcher la volonté d'acquérir un peu de grandeur, ni de rêver ces images dans un espace unique et plus grand, là où chacune aurait l'espace de dialoguer librement.
Je suis allée ensuite boire des canons avec Le bourdon masqué qui s'en est tenu au jus vitaminé, parce que j'avais grand soif de verres alcoolisés.
2 commentaires:
j'apprends beaucoup et ton analyse sur les clichés de Laurence et mes timides essais est juste. Je l'imite ou tout du moins j'essais.
Cela vient peut-être du fait qu'au début je passais à des endroits où elle saisissait l'atmosphère.
Un jeu.
Pssstt... Aujourd'hui une flûte d'Ayala pour zigouiller les vitamines.
Bzzz...
@Le bourdon masqué
:-)
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