18/03/2013

Vivance aux Ocreries

Pendant ce temps, au pays des Ocreries... quelques flammes en dégustant les fameuses crêpes de Thierry, et découvrant aussi sur la platine les chansons de Gilles Vigneault, beaucoup de parcelles québécoises ici...




et puis les biberons réclamés à corps et à cris par les neufs chevreaux.


Bricolage de bateaux sur l'eau...



La préparation des ânes et chevaux...





 Pour des ballades uniques et merveilleuses,
 à un rythme qui laisse à notre regard 
le temps d'accrocher les lumière changeants des cieux.




 Ici le temps fût comme un autre, aussi...
No pasaran un dia sans que l'on pense à eux.


Merci Anne, merci Thierry


7 commentaires:

Blue a dit…

Plein de petits coeurs en ribambelle douce et joyeuse!
C'est réjouissant et beau!
Vivement le printemps qu'on y aille ensemble!
Tout y à l'air si...naturel...

Laure K. a dit…

@Hélénablue
Les pieds sur terre, les pieds dans l'eau, à cheval, au trot, la musique, le silence, la vie, à quoi ressembleraient nos vies sans nos liens pas virtuels ? elles seraient moins riches de tout ceci...

Hâte aux beaux jours !

anne des ocreries a dit…

Et comment, hâte aux beaux jours ! and you're welcome, les belles !!

Merci, Laure, pour ce joli compte-rendu ! XXXXX <3

Astrid Shriqui Garain a dit…

Le Grand Cerf-volant - Gilles Vigneault


"Un jour je ferai mon grand cerf-volant

Un côté rouge, un côté blanc

Un jour je ferai mon grand cerf-volant

Un côté rouge, un côté blanc, un côté tendre

Un jour je ferai mon grand cerf-volant

J'y ferai monter vos cent mille enfants, ils vont m'entendre !

Je les vois venir du soleil levant

Puis j'attellerai les chevaux du vent

Un cheval rouge, un cheval blanc

Puis j'attellerai les chevaux du vent

Un cheval rouge, un cheval blanc, un cheval pie

Puis j'attellerai les chevaux du vent

Puis nous irons voir tous les océans s'ils sont en vie

Si les océans sont toujours vivants

Par-dessus les bois, par-dessus les champs

Un oiseau rouge, un oiseau blanc

Par-dessus les bois, par-dessus les champs

Un oiseau rouge, un oiseau blanc, un oiseau-lyre

Par-dessus les bois, par-dessus les champs

Qui nous mènera chez le mal méchant pour le détruire

Bombe de silence et couteau d'argent

Nous mettrons le mal à feu et à sang

Un soleil rouge, un soleil blanc

Nous mettrons le mal à feu et à sang

Un soleil rouge, un soleil blanc, un soleil sombre

Nous mettrons le mal à feu et à sang

Un nuage monte, un autre descend, un jour sans ombre

Puis nous raserons la ville en passant

Quand nous reviendrons le cœur triomphant

Un côté rouge, un côté blanc

Quand nous reviendrons le cœur triomphant

Un côté rouge, un côté blanc, un côté homme

Quand nous reviendrons le cœur triomphant

Alors vous direz ce sont nos enfants, quel est cet homme

Qui les a menés loin de leurs parents

Je remonterai sur mon cerf-volant

Un matin rouge, un matin blanc

Je remonterai sur mon cerf-volant

Un matin rouge, un matin blanc, un matin blême

Je remonterai sur mon cerf-volant

Et vous laisserez vos cent mille enfants chargés d'eux-même

Pour jeter les dés dans la main du temps

Pour jeter les dés dans la main du temps ! "

Le vent se lève ! Profitons en!

goupil18 a dit…

Quel plaisir de revoir tout ça en images. Merci Laure. Et revenez vite !

Laure K. a dit…

@Astrid

Elle est bien trouvé celle-ci, oui !
merci Astrid

Laure K. a dit…

@Goupil78

:-)

Ben t'es tout nu sous ton poull !
ya la rue qu'est maboul..

Fabienne Verdier, rencontre

  Devenir un corps pinceau-pensant, suspendu à la loi de la gravitation. Apprivoiser le tombé d'un drapé d'encr...