Anouk Grinberg ce soir à l'Odéon, lisait des extraits des écrits de Marina Tsvetaeva. La voix d'abord et puis souvent cette allure de celle qui sortirait de son atelier juste pour nous, pour nous donner à entendre des auteurs, des vies arrachées qu'elle habille de sa voix qui, moi, me touche infiniment. Merci à elle d'être si juste.
2 commentaires:
;)
des femmes d'exception comme celle là on en aurait besoin partout, toujours.
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