Puisque mère je suis, mère je me dois de protéger l' enfant.
Oui. `
De tout. Avec l' intuition sensible du bon et du mauvais.
De ce qui semble juste et de ce qui semble hors contexte. Hors compromis aussi.
Savoir recouvrer l'essence de sont toit, son aile protectrice.
Hors les heures d' insomnies.
Hors les "laissez passer" mais pas au-delà de l' équilibre mental. Non.
Rien de grave. Mais il est temps.
J' ai vivre, j' ai devoir de, j' ai amour, je n' ai pas don d'ubiquité.
Un seul enfant à protéger, à sauver, à garder, à accompagner, à faire grandir.
Pas d 'autre. Non.
Alors l'autre part.
2 commentaires:
Ce n'est pas une fonction ce n'est pas une obligation c'est simplement "être avec" partager beaucoup de plaisir partager un peu de sa tristesse pas trop simplement être vraie, on ne peut rien cacher aux enfants...
@laurence
Faire des choix, surtout en terme d'accompagnement, je crois.
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