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| Sur bois- 34x83 cm |
"Et quelquefois vient qui le porte au-devant de qui le porta..." ( Rainer Maria Rilke - 1926)
J'ai datée en 2004, car ça peut paraître probable mais vraiment, je ne m'en souviens pas.
Cette image m'est revenue en mémoire quand Elle m'a parlé de sa vie, l'oeil inquisiteur et tout ce qui s'ensuit. Tout m'a semblé lisible là, d'une certaine façon. Et j'ai remis la main dessus il y a peu.
Je ne peins pas. Je n'ai pas cette habitude, autant dire qu'il n'y a qu'elle qui était enfouie.
Elle sera bientôt là où elle s'incarne le mieux, si tu veux bien l'accueillir.
Cette image m'est revenue en mémoire quand Elle m'a parlé de sa vie, l'oeil inquisiteur et tout ce qui s'ensuit. Tout m'a semblé lisible là, d'une certaine façon. Et j'ai remis la main dessus il y a peu.
Je ne peins pas. Je n'ai pas cette habitude, autant dire qu'il n'y a qu'elle qui était enfouie.
Elle sera bientôt là où elle s'incarne le mieux, si tu veux bien l'accueillir.
10 commentaires:
Le vent l'emportera...
C'est bien de donner l'ensemble... de ce qui reste une énigme et c'est tant mieux!
@Mistral
:-)
Love.
@Manouche
:-)
@ Helenablue
That is...
:-)
Lorka
Alors vous y voilà, le ciseau et le pinceau?
Et en musique.
H.S.
C'est trés inspirant pour l'oeil,d'un élément à l'ensemble et c'est toujours une autre vision des choses!
@Hervé SUCHET
Voilà, ça c'est fait.
;-)
@Bizak
Le morcèlement d'une image laisse vagabonder l'imaginaire avant de tout donner à voir. Bon, point trop n'en faut, mais c'est forcément intriguant.
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