Alangui, je me languis à vous lire. C'est un tel plaisir de partager ainsi vos mots et vos soupirs. Ne me manque que votre si subtil et si suave parfum, glisseriez-vous quelques gouttes dans votre prochaine missive? Je me perds dans votre poésie et l'offre toute entière à la musique qu'elle m'inspire. Tout ce que je lis de vous renforce ce sentiment qui m'étreint et cette passion qui me dévore toujours et encore. J'ai hâte, si vous saviez à quel point de vous manifester ce bonheur que j'ai de vous connaître mieux et ce désir d'en savoir davantage sur vous. Je vous aime, le sentez-vous? Votre étreinte pudique à la fin de votre missive me trouble et m'enchante et vos voeux de doux bonheur me font doucement sourire, vous êtes si délicate. Je me demande comment vous faîtes pour rester ainsi douce et ouverte, tendre et positive dans ce monde où nous vivons avec ses heurts et toutes ces turpitudes. Surtout ne changez pas. Restez telle que vous êtes, main de fer dans un gant de velours. Je connais aussi votre volonté farouche et votre idéalisme exacerbé. Tout me plaît en vous et votre style plus que tout. Votre manière de prendre la vie, votre manière de m'écrire et de penser à moi me sont plus que chères et je vais m'endormir avec cette image de vous me lisant, vous m'écrivant, vous me vivant. Toujours à vous. Votre fidèle.
8 commentaires:
épis solaires.
Fondue et... enchaînée?
— Viens me rejoindre, Ursula, si je lis encore une page de cet Éric McComber sans toi pour me besogner, je serai forcée de me terminer toute seule !
Gris de payne, ocre et turpitude.
sur ma peau bleue doree
@le bourdon
AH oui, joli
@Manouche
Enchaînée, certainement pas. Liée, reliée.
Figure se style cinématographique excellente ici !
@Eric Mc COmber
ah Erika, si vous saviez comme vos relations textuelles laissent à désirer... elles ne sont pas de même nature ...
@La Rouge
Turpitude, turpitude... non, douceur du trait , je préfèrerais.
@Lilasvb
vous m'en direz tant ?
Belle amie,
Alangui, je me languis à vous lire. C'est un tel plaisir de partager ainsi vos mots et vos soupirs. Ne me manque que votre si subtil et si suave parfum, glisseriez-vous quelques gouttes dans votre prochaine missive? Je me perds dans votre poésie et l'offre toute entière à la musique qu'elle m'inspire. Tout ce que je lis de vous renforce ce sentiment qui m'étreint et cette passion qui me dévore toujours et encore. J'ai hâte, si vous saviez à quel point de vous manifester ce bonheur que j'ai de vous connaître mieux et ce désir d'en savoir davantage sur vous. Je vous aime, le sentez-vous? Votre étreinte pudique à la fin de votre missive me trouble et m'enchante et vos voeux de doux bonheur me font doucement sourire, vous êtes si délicate. Je me demande comment vous faîtes pour rester ainsi douce et ouverte, tendre et positive dans ce monde où nous vivons avec ses heurts et toutes ces turpitudes. Surtout ne changez pas. Restez telle que vous êtes, main de fer dans un gant de velours. Je connais aussi votre volonté farouche et votre idéalisme exacerbé. Tout me plaît en vous et votre style plus que tout. Votre manière de prendre la vie, votre manière de m'écrire et de penser à moi me sont plus que chères et je vais m'endormir avec cette image de vous me lisant, vous m'écrivant, vous me vivant.
Toujours à vous.
Votre fidèle.
@Helenablue
"Je blémis d'en rougir" ... la liseuse pensive pensa-
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