28/02/2010
César du meilleur documentaire
L'ENFER de Serge Bromberg d'après les rushes du film d'Henri-Georges Clouzot, déjà évoqué ici et là
Super ravie je suis, et pour cause ...
25/02/2010
BERLIN 4# cinéma
Berlinale Festival film
(affiche non def)
Vu un seul film, Djinns, qui se veut un film de genre mais beaucoup plus subtil que le genre dans lequel il est censé s'inscrire:
" Le sud de l'Algérie, en 1960. Une section de paras français tente de retrouver un avion disparu dans le désert. Largués dans une gigantesque zone militaire secrète, les soldats découvrent l'épave de l'avion.
A l'intérieur, pas un survivant, mais une malette estampillée "secret-défense".
Prise d'assaut par des soldats ennemis, la troupe trouve refuge dans un étrange village.
Là, une guerre plus mystérieuse va se livrer : celle des hommes contre les Djinns, des créatures maléfiques et invisibles, capables de faire resurgir nos peurs les plus intimes."
Un film éminemment politique, en plein conflit avec l'Algérie qui demande au gouvernement français de reconnaitre ses crimes de guerre.
C'est étrange de voir ce film en Allemagne, les rôles s'inversent et ce ne sont plus les voix des nazis, mais celles des français qui ressurgissent comme une terreur.
A l'heure où les allemands ont effectué un sacré devoir de mémoire, je mesure l' étendue du travail qui n' a pas été fait en France et qui, sans aucun doute, est le terreau de bien des malaises de ce pays en quête d' identité souverainne.
Oui, c'était marquant de voir ce film à Berlin et on était super fier d'eux, parce que réussir à faire un premier film c'est gravir un Annapurna artistique ...
Hugues et Sandra Martin - les réalisateurs français de Djinns-
Schnaps and Beer and schnaps and beer and ...
23/02/2010
BERLIN 03# Histoire
Février 2010
Y aller aussi pour la certitude d'un passé commun, d'images qui hantent ...
Le monument dédié au peuple juif, tout prêt de la porte de Brandebourg -
Des blocs rectangulaires alignés vue de loin, et plus on y pénètre plus le sol s' enfonce et ces "tombes" deviennent des grattes ciel rectilignes et froids, un labyrinthe qui semble presque ludique à force de s'y perdre. Pas en pensées.
Y aller aussi pour la certitude d'un passé commun, d'images qui hantent ...
Le monument dédié au peuple juif, tout prêt de la porte de Brandebourg -
Des blocs rectangulaires alignés vue de loin, et plus on y pénètre plus le sol s' enfonce et ces "tombes" deviennent des grattes ciel rectilignes et froids, un labyrinthe qui semble presque ludique à force de s'y perdre. Pas en pensées.
22/02/2010
18/02/2010
SMOKIN' IN BERLIN
La Classe ?
Non, la paix.
Là où on mesure à quel point se construit insidieusement une "liberté" soumise aux majorités bienpensantes.
Parait qu 'il faut se diriger de nouveaux vers notre siècle perdu des Lumières, pour ne pas perdre la raison tout à fait.
Alors bouquet de floraison lumineuses...
Ya pas que l' hiver qui sera rude...
12/02/2010
Before Berlin
Conception et réalisation du Teasing pour EuropaFilmTreasures,
ou comment essayer de redonner de l'espace aux images 2D d'hier...
n'hésitez pas à le visiter.
Des programmes pour all the family !
Des livrets accompagnent les films, riches en anecdotes cinématographiques, les premières actualités reconstituées, les farces et aventures extraordinaires de Georges Méliès, ou de Marcel Fabre ( le Tom Cruise de l'époque), des dessins animées, des films érotiques, du documentaire ... bref, vous pouvez éteindre le poste - What else ?
09/02/2010
Chlorophylle
"Ce pigment, situé dans les chloroplastes des cellules végétales, intervient dans la photosynthèse pour intercepter l'énergie lumineuse, première étape dans la conversion de cette énergie en énergie chimique.
Son spectre d'absorption du rayonnement lumineux est responsable de la couleur verte des végétaux ; la longueur d'onde la moins absorbée étant le vert, c'est donc cette couleur qui est perçue dans la lumière réfléchie vers l'oeil par la feuille."
De l'évidence immédiate ... la feuille est verte, la terre est plate, c'est selon la perception visuelle - Tout reste donc ou vert ouvert ...
EONnogata
De l'intention à la création, de l'envie à l'énergie, qu'il faille du temps pour accomplir toute chose, oui. Volonté et enthousiasme. Volontairement déshinibant.
Et toujours à la source, la nature ennivrante des sens.
Portrait sensible de Françoise Ha Van hier soir sur Arte, Sylvie Guillem Sur le fil - Force -
06/02/2010
Thondimat
« Un magazine d'un nouveau genre sur des gens à part », annonce Adeline Blondieau. Génial ! C'est dans mes cordes. Mais ça tombe mal. Il y a Global Sushi sur Canal+, un docu vivement recommandé par Valérie, ma chef en personne. Sur Virgin17, Adeline Blondieau poursuit : « Ça ne s'invente pas est le seul magazine où la réalité et la fiction se télescopent. » Attention au carambolage en série.
« Ce soir, vous allez découvrir trois reportages inédits, trois histoires incroyables. » Et même quatre reportages inédits, quatre histoires incroyables, si je réussis à zapper pour jeter un œil à Global Sushi. « Ce sont les histoires d'hommes ou de femmes qui ne vivent pas comme tout le monde. » Des histoires de poissons, aussi. Adeline poursuit, je suis tout ouïe. « Loin des tabous, ils ont inventé leur propre code, leur propre logique, leur propre univers. Ils sont immergés dans une quatrième dimension. » Ah oui, pour être immergés, les poissons sont immergés. Sauf ceux qui sont victimes de la surpêche.
suite ici
Petit article bien nourri du blog télé "Ma vie au poste" de Samuel Gontier, zappeur sur le site de Télérama... et seulement parce que Virgin 17 m' a payé de quoi me nourrir pendant 2 mois, yep, ça ne s'invente pas !
C'est classe le divertissement intelligent, ça rend les gens moins con tout de suite quand on fait appel au discernement du vrai/faux reportage.
« Ce soir, vous allez découvrir trois reportages inédits, trois histoires incroyables. » Et même quatre reportages inédits, quatre histoires incroyables, si je réussis à zapper pour jeter un œil à Global Sushi. « Ce sont les histoires d'hommes ou de femmes qui ne vivent pas comme tout le monde. » Des histoires de poissons, aussi. Adeline poursuit, je suis tout ouïe. « Loin des tabous, ils ont inventé leur propre code, leur propre logique, leur propre univers. Ils sont immergés dans une quatrième dimension. » Ah oui, pour être immergés, les poissons sont immergés. Sauf ceux qui sont victimes de la surpêche.
suite ici
Petit article bien nourri du blog télé "Ma vie au poste" de Samuel Gontier, zappeur sur le site de Télérama... et seulement parce que Virgin 17 m' a payé de quoi me nourrir pendant 2 mois, yep, ça ne s'invente pas !
C'est classe le divertissement intelligent, ça rend les gens moins con tout de suite quand on fait appel au discernement du vrai/faux reportage.
01/02/2010
Un voile
« Je ne suis pas rassurée depuis ce matin, le moindre bruit me fait sursauter. D’ailleurs si j’avais le choix, je ne sortirais pas. Je suis totalement vulnérable. Depuis hier, je ne sais plus pourquoi je fais ça. Sans certitudes, impossible d’affronter la rue. Cette expérience est trop compliquée. Je n’ai pas voulu me glisser dans la peau d’une musulmane mais me cacher de manière gracieuse au regard des autres. Et continuer à vivre normalement. Ce qui s’avère interdit avec une telle image religieuse. On ne s’en approche pas, c’est presque iconique. La liberté d’être n’est pas compatible avec les dogmes du sacré. Le voile appartient aux musulmans. Et il fait peur. »
Bérengère Lefranc, artiste plasticienne déjà évoquée par ici, livre aujourd' hui une part intime d' elle-même, cachée au regard des autres pendant un mois, sous un vêtement crée et assimilé à la burqa, de par son long voile qui recouvre entièrement le visage.
Pourtant loin de la polémique actuelle, sa démarche reste cohérente avec ses travaux de mise en scène du corps et du vêtement depuis une dizaine d'années.
« Je ne cherche pas à prouver mais à éprouver »,
Interview
Un semblant d'humanité que d'autres femmes taisent, soit par choix soit par contrainte, mais le peu de paroles qui s' en trouvent alors libérer même par le biais d' une expérience artistique ne peut que donner à entendre une relation intime que le corps féminin se voit contraint de taire.
Une voix courageusement salutaire.
Bérengère Lefranc, artiste plasticienne déjà évoquée par ici, livre aujourd' hui une part intime d' elle-même, cachée au regard des autres pendant un mois, sous un vêtement crée et assimilé à la burqa, de par son long voile qui recouvre entièrement le visage.
Pourtant loin de la polémique actuelle, sa démarche reste cohérente avec ses travaux de mise en scène du corps et du vêtement depuis une dizaine d'années.
« Je ne cherche pas à prouver mais à éprouver »,
Interview
Un semblant d'humanité que d'autres femmes taisent, soit par choix soit par contrainte, mais le peu de paroles qui s' en trouvent alors libérer même par le biais d' une expérience artistique ne peut que donner à entendre une relation intime que le corps féminin se voit contraint de taire.
Une voix courageusement salutaire.
Inscription à :
Articles (Atom)
Fabienne Verdier, rencontre
Devenir un corps pinceau-pensant, suspendu à la loi de la gravitation. Apprivoiser le tombé d'un drapé d'encr...
-
Vidéogramme du film "Petit Rien" de Laure Kalangel avec Hélénablue En mixage final demain.
-
syndrome de culpabilité maternelle ...