31/07/2013
26/07/2013
19/07/2013
12/07/2013
Image incidente
Après je ne sais pas... |
UN COIN DE L'INFINI BRULE
saisi dans l'extase
contenant la pression du désir
un recoin de ciel noir
plonge dans l'angle du soleil
menaçant, obsédant
silence offert aux silencieux
Vide
d' une simplicité à faire peur sans histoire
visions à méditer dans la contemplation
modifiant toute perception qu'advienne
la vue qui déborde la vue
glissements des plaques brossées dans
l'épaisseur du pigment
s'engendre lui-même
-Dialogue avec Rothko-
de Carolyn Carlson
10/07/2013
Marie Curie par sa petite fille
"Cher lecteur, raisonner et s'émouvoir pour moi, ce n'est pas incompatible" - Hélène Langevin-Joliot
Hélène Langevin-Joliot, physicienne et petite-fille de Marie Curie, nous livre un témoignage exceptionnel sur la vie de la grande scientifique, symbole de l'entrée des femmes en science. Hélène Langevin-Joliot était l'invitée de l'Espace des sciences, le 29 mai 2012, pour sa conférence "Marie Curie et son temps"
07/07/2013
Fénomènes de Foire : Boby Lapointe
Deux suaves zouaves à l'accent enchantant
que j'ai eu grand plaisir à entendre, à filmer et à re-regarder en
montant. Mon ignorance Boby Lapointesque est enfin recouverte de
quelques mélodies et jeux de mots bien placés.
M'en
vais les retrouver d'ici une semaine, pour un tour de gloire en Avignon
et que du bonheur dans les oreilles avec ces deux enfants de poésie.
06/07/2013
02/07/2013
Point de vue
"Quand tu prends une photo, tu organises ton corps, les trois points sont en ligne. C'est une expérience de yoga."
Sergio Larrain, photographe.
Rencontres Photographiques Arles- Juilliet 2013
Le labyrinthe
La boue dont elle se souvient le mieux
de celle qui pompe et suce
de celle qui trahit le corps,
sable mouvant tirant vers là
où l’air est épaissi de graviers, là
où son corps est un champ de bataille.
La motte qu’ils ont soulevée
était pour elle une pierre, son douloureux
tambourinage une danse de colère
disparue entre les coutures épaisses
qui maintenant resserrent sa poitrine sur elle même.
Elle est perdue sous terre
sans Orphée ni guide. C’est le labyrinthe
sans le minotaure ; là où la fraîche
découpe bleue du ciel est un souvenir évanescent.
Elle sait bien que ceci est un conte de fée
macabre, où des touffes de cheveux
sont arrachées pour tresser une corde
qui la ramène à la surface, ou alors
sont posées par terre dans les forêts obscures
comme des indices pour son retour. Il n’y a
personne d’autre, juste ce corps
et sa tête autrefois si brave qui tourne sur ellemême
sous les étoiles scintillantes du sol.
Ceci est le voyage où une femme
se métamorphose en jeune fille dont la vertu
déjoue le mal, et cherchant son courage
plutôt que de hurler la tête entre les mains,
trouve la bonté où elle n’aurait jamais regardé.
C’est regarder qui est le plus difficile,
faire face au futur d’un œil clair qui implore :
renvoyez les noirs corbeaux, les dragons du pays
de la mort, renvoyez les sorcières, les vieillardes, les hommes
fous, les chevaux sauvages.
Je trouverai mon chemin pour rentrer à la maison.
d' Adrienne Eberhard - traduit de l’anglais par Christine Bonduelle
http://www.revue-secousse.fr/Sonotheque/Sono.htm ( par Anne Segal)
01/07/2013
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